De nouveaux tags islamophobes ont été inscrits sur les murs du boulevard Eugène Deruelle près de la Part-Dieu.
Après les tags inscrits dans la nuit de mardi à mercredi sur la mosquée de Bron, des inscriptions similaires "dehors ou la mort" ont été inscrite cette nuit sur les murs du boulevard Eugène Deruelle dans le 3e arrondissement de Lyon près de la Part-Dieu. Des insultes à caractère clairement islamophobe et appelant au meurtre ou il était inscrit : "anti bicos, anti islam", "la milice de Lyon revient pour tuer", "la milice catholique"
Hier, Michel Delpuech, préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes et préfet du Rhône avait condamné "avec la plus grande fermeté l’inscription "dehors ou la mort" découverte sur le muret d’enceinte de la mosquée de Bron". "Cet acte irresponsable sème la discorde et crée un contexte de division alors que l’heure doit être plus que jamais à l’unité nationale. L’État islamique n’a de cesse de vouloir fracturer la société française. L’État républicain doit y répondre par l’esprit de concorde qui ne saurait laisser place à quelque amalgame que ce soit", avait-il poursuivit.
Une enquête est en cour pour faire la lumière sur ces tags et comprendre s'il s'agit du ou des mêmes auteurs.
Quelle hystérie! Je vous invite à écouter Sofiane Zitoune, invité de France Info aujourd'hui, professeur de philosophie, auteur de 'Fils de Marianne et de Mahomet' qui a décidé de quitter la communauté musulmane afin de dénoncer les agissements des islamistes dans les lycées musulmans et partout ailleurs! Cela fait du bien! Prendre ses distances avec les religions, quelles qu'elles soient, sans devenir nécessairement athée, est très sage!
Une enquête pour 2 ou 3 tags ! En état d'urgence en plus, la police doit avoir plus important à faire non ? Et pour les centaines de tags 'nique la France', il fait des enquêtes notre prefet franc-maçon ?
Qu'est ce que cela coûte au préfet de s'apitoyer sur une (seule) inscription 'anti bicos, anti islam' au regard des 200 innocents fauchés par le cimeterre islamique. Quand je vois ces barbus en djellaba traverser Parilly, sortant de je ne sais quel sous-sol transformé en lieu de prière, la morve aux nez, en terrain conquis, au milieu d'une flopée de femmes voilées malgré la canicule, vociférant sur leur abondante progéniture, mes mains tremblent mais je me retiens de céder à la violence. Et pourtant je reviens de Hong-Kong où les provinces chinoise du nord ouest ont été confrontées aux attentats fomentés par la minorité islamique ouighours. Coupables et complices sont passés par les armes en 1 semaine, familles assignées à résidence depuis 1 an et demi. La fièvre islamiste est retombée.