Patron des marcheurs dans le Rhône, Bruno Bonnell se réjouit de la composition du gouvernement et notamment de l'arrivée de Gérard Collomb au ministère de l'Intérieur.
Référent départemental d'En Marche, Bruno Bonnell se réjouit de la nomination de Gérard Collomb au ministère de l'Intérieur : "Je suis très fier que Gérard Collomb ait accepté d'être ministre de l'Intérieur. Il va au bout de sa démarche pour réussir la transformation de la vie politique. Il a vu Emmanuel Macron avant tout le monde et il s'est donné à fond pour le faire gagner. Il est un acteur majeur de son élection. Il a convaincu des gens de changer de référentiel". En ce soir de nomination ministériel, Bruno Bonnell, qui a été un de ses premiers soutiens à Lyon, fait un retour vers le passé : "Au soir de son élection en 2001, nous marchions vers le Ninkasi où il allait prononcer son discours de victoire et sa première préoccupation était la sécurité. Il me disait que la sécurité était la première des libertés. La sécurité au quotidien est l'une des clés de la réussite lyonnaise. Il va maintenant pouvoir étendre son terrain d'expérimentation".
"Bombe à fragmentation"
Le candidat aux législatives à Villeurbanne se réjouit de la composition du gouvernement dans sa globalité. Il note le mélange entre les transfuges de droite et les personnalités issues de la société civile. "Ce gouvernement démontre qu'on peut se rassembler sans être semblables. C'est ce que l'on vit au quotidien dans nos entreprises. Je suis très optimiste et content de voir que des gens aient su dépasser les idéologies. Par exemple, je trouve navrante la réaction des Républicains d'exclure Bruno Le Maire. Cyniquement, on peut voir ce gouvernement comme une bombe à fragmentation de la politique française. Utiliser des méthodes d'exclusion m'apparaît aujourd'hui aussi décalé que porter un pantalon patte d'eph'".
Ah encore un expert des éléments de langage bidon, impartial et intelligent comme on les aime.'Ce gouvernement démontre qu'on peut se rassembler sans être semblables.' Ce gouvernement démontre surtout que les politiques semblables se rassemblent. Pourquoi pas, mais faire croire au pluralisme politique, c'est osé.'C'est ce que l'on vit au quotidien dans nos entreprises'. Bravo, il n'y a effectivement aucune démocratie dans l'entreprise (si ce n'est de mettre une plante à gauche ou à droite de son bureau).'La sécurité était la première des libertés.' C'est très beau, un peu comme: 'Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux.' (google, en 0.29 s)
Il te faut quoi Pifpafpoum pour te faire vibrer? Un président élu qui fait rigoureusement ce qu'il a annoncé, qui bouge les lignes politiques comme jamais depuis le début de la Vème République, et tente d'impulser un peu d'espoir pour sortir du marasme qu'entretiennent avec plaisir on dirait, les rabats-joie comme toi. Si les politiques te débectent à ce point, quittes ton pseudo et lances toi, sinon rendez-vous à la page des sports, tu trouveras je l'espère un club à soutenir. Tu verras ça fait du bien d'être positif de temps en temps.
Vous êtes bien prompt(e) à me classer comme sportif, désengagé politique et comme rabat-joie; c'est sans doute plus votre problème que le mien.Cela vous permet de décrédibiliser à peu de frais intellectuels un discours critique sur les babillages usés de M. Bruno Bonnell, qui font douter d'un frémissement même des 'lignes politiques' que vous mentionnez. Les candidats 'En marche!' des circonscriptions du Rhône (Rudigoz, Brugnera, Touraine), ce serait la ligne Maginot, alors?Sinon, votre argumentation se limite à vous accaparer les jolis termes de 'rigueur', d''espoir' et de 'renouveau', en me concédant celui de 'marasme'... Ah c'est moche, presque... Vous utilisez l'émotion comme cache-misère d'une politique inégalitaire, concurrentielle faussée, servie et échouée mille fois.