"A notre époque de « despotisme doux », le comportement pour lequel Michel Mercier est mis en cause suffit à le faire entrer dans le large champ d’attraction de l’état d’urgence - d’autant plus qu’à en croire Lyon Capitale, il traîne certaines « casseroles » du temps où il présidait le conseil général du Rhône et serait donc en capacité de récidiver."