Début de saison cette semaine aux Célestins, avec une pièce sur le deuil du dramaturge américain David Lindsay-Abaire. Dans ce Rabbit Hole, la comédienne Julie Gayet tient le principal rôle féminin.
Rabbit Hole, de David Lindsay-Abaire, prix Pulitzer 2007 dans la catégorie Théâtre*, montre une famille désorientée après la perte d’un tout jeune enfant. Le rabbit hole, c’est le terrier du lapin, le trou noir du désespoir qui aspire le couple des parents et leurs deux enfants. Mais c’est aussi ce lieu invisible où la reconstruction sera peut-être possible. Avec finesse et humour, le dramaturge américain explore, sans pathos ni sentimentalisme, cet événement tragique qui frappe une famille ordinaire.
* Le texte est ici adapté par le codirecteur des Célestins, Marc Lesage.
Dans la mise en scène de Claudia Stavisky, le rôle de la mère est tenu par Julie Gayet. Laquelle, avant d’être la compagne de notre ex-président, est une – excellente – comédienne. On trouve dans sa filmographie pas loin d’une cinquantaine de films (avec de grands réalisateurs tels qu’Agnès Varda, Philippe Harel, Jean-Charles Tacchella, Patrice Leconte, Bertrand Tavernier…). Lyon Capitale l’a rencontrée cet été, un entretien à lire dans notre numéro de septembre.
Toujours en retard d'une décennie la directrice des Célestins lol inviter la femme de l'ex président par pur oportunisme à jouer dans un énième spectacle qui sera sûrement aussi un bide que les autres fallait le faire elle a pas dû être au courant que c'était la République en marche qui était désormais au pouvoir? mais à mon avis Brigitte Macron n'aurait pas envie de prêter la moindre attention à une metteuse en scène aussi ringarde. Patrick Catalifo à part ça joue encore ? Stavisky aura vraiment tout fait sauf aimer les artistes lyonnais et surtout pas les jeunes compagnies elle n'aide que quand ça l'arrange son toutou Taponard toujours prêt à lui lécher les baskets un sacré ringard lui aussi.