Greenpeace a publié ce jeudi un tableau des régions françaises selon leur dynamique de réduction de consommation d'électricité. L'Auvergne-Rhône-Alpes est "très en retard" dans sa transition énergétique selon l'ONG.
L'Auvergne-Rhône-Alpes (Aura) a encore du travail. Ce jeudi, Greenpeace a publié un tableau passant au crible chaque région au sujet de sa dynamique de réduction de consommation d'électricité. L'organisation non gouvernementale (ONG) se base pour cela sur plusieurs critères en prenant en compte la situation géographique, démographie, l'industrialisation ou encore le potentiel de production renouvelable de chaque territoire.
Quatre conditions (réduction de la consommation d’électricité, développement de l’éolien et du photovoltaïque) ont été passées au peigne fin. Globalement, la note n'est pas bonne pour la France.
O/10 pour l'Aura
Un résultat dû notamment à plusieurs régions comme la Bretagne, la Corse, la Nouvelle-Aquitaine, les Pays de la Loire, l’Occitanie et l'Aura. Ces dernières ont augmenté leur consommation entre 2013 et 2019, ce qui leur vaut la note de 0 sur 10 de la part de l'ONG.
L'Auvergne-Rhône-Alpes est donc considérée comme "très en retard" dans sa transition énergétique. Cela s'explique notamment par le manque de développement de l'énergie éolienne (terrestre et maritime) et photovoltaïque d'après Greenpeace. Sur ces deux aspects, la région figure parmi les mauvais élèves de l'Hexagone.
Greenpeace, ce machin aurait dit le général qui vit de subventions, n'apporte rien de concret, tente de briller par des coups médiatiques pas cher dans nos centrales , qu'ils aillent manifester en Chine, Russie, Corée du Nord, etc tous ces pollueurs qui eux méritent des leçons .mais pour ceci il faudrait du courage, et puis les risques encourus sont réels, Chez nous ils ont les honneurs de la presse, la preuve, paradent. Un de ses dirigeant se paie le luxe de voyager en avion chaque mois, écolos, qu'ils disent.
Plus un seul centime à leur bénéfice, d'ailleurs aujourd'hui ils sont très éloignés de ce qui a justifié leur création , mais reprise de façon efficace par le capitaine Paul Watson et l'association SEA SHEPERD., les seuls réels défenseurs de la planète océan.
Paul Watson un des fondateurs de Greenpeace en 1972 l'a quitté en 1977, préférant l'action non agressive de défense du milieu marin aux protestations , Seasheperd existe grâce aux dons de particuliers (Sauf Abo!!)d'entreprises ou de fondations (BB).
Pas d'bol ! 😀
rigolo votre contre-feu pour défendre votre candidat Wauquiez qui ne fait rien d'efficace pour défendre les petites lignes de train, et qui dépense plus pour des panneaux promotionnels que pour la défense de sujets importants ! 🙂