Marine Latham, la directrice générale d'Atmo-Auvergne-Rhône-Alpes, est l'invitée de la quotidienne de Lyon Capitale, 6 minutes chrono. Elle explique le rôle essentiel joué par Atmo dans la surveillance de la qualité de l'air à Lyon et dans la région.
Les pics de pollution, l'extension de la Zone à faibles émissions, la sortie voulue des véhicules diesel à l'intérieur de la ZFE dans quelques années, le sujet de la qualité de l'air est l'un des sujets centraux actuellement à Lyon, et le sera encore dans les prochaines années.
Atmo-Auvergne-Rhône-Alpes, une association de loi 1901, est en charge de la surveillance de la qualité de l'air dans la région. "Nous sommes agréés par l'Etat et nous sommes l'organisme de référence en qui concerne la qualité de l'air dans la région Auvergne-Rhône-Alpes", explique Marine Latham, directrice générale d'Atmo-Auvergne-Rhône-Alpes, invitée de la quotidienne de Lyon Cap', 6 minutes chrono.
Atmo a "un rôle d'aide à la décision des politiques"
Les missions d'Atmo ? "Surveiller et prévoir la qualité de l'air dans les jours à venir, informer et sensibiliser le grand public, un rôle d'aide à la décision des politiques qui doivent eux prendre des décisions pour le territoire, et une mission d'anticipation sur les nouveaux polluants et d'innovation dans le domaine de la qualité de l'air", souligne la directrice générale d'Atmo.
Marine Latham ajoute que "depuis une dizaine d'années, la qualité de l'air s'est largement améliorée dans l'ensemble de la région Auvergne-Rhône-Alpes, y compris à Lyon. Au niveau des oxydes d'azote et des poussières, nous sommes arrivés à réduire ces deux polluants qui sont les polluants principaux en hiver". "Le dioxyde d'azote (essentiellement émis par les véhicules) a été réduit ces dernières années de l'ordre de 45%, cette réduction est liée en partie au changement des motorisations automobiles", poursuit-elle.
Atmo a également mis en place des dispositifs pour sensibiliser la population à la qualité de l'air, pour que les habitants mesurent eux même la qualité de l'air. Notamment la captothèque. "La captothèque, c'est un peu comme la médiathèque, c'est un endroit où on peut venir emprunter pour une quinzaine de jours un appareil, un microcapteur, un appareil capable de mesurer les poussières qui sont dans l'air. On prête gratuitement cet appareil, et après le citoyen est capable avec cet appareil de mesurer dans son environnement, dans son quotidien, quelle est la qualité de l'air qui l'entoure. Et aussi comment en agissant sur certains facteurs, il peut améliorer la qualité de l'air autour de lui. C'est vraiment un moyen de sensibilisation", conclut Marine Latham, la directrice générale d'Atmo.
"Donc vos manipulations d'extrémiste pollueur, ça suffit! " !
J anus:? change de rengaine, valorise ton inculture si toute fois c'est dans tes possibilités, ce dont je doute.
Elle ne doit pas circuler sur A7 hauteur Feyzin, pour les bonnes odeurs,du croisement 'A46 --A43 ou effectivement pollution routière, 85% des camions des poids lourd de et vers l’Europe du Nord , du Sud .quand tout ce transport marchandise pourrait emprunter le rail ou le Rhône, (merci Voynet). Cette magicienne nous dit : j""cette réduction est liée en partie au changement des motorisations automobiles",""comme quoi il en faut peu!!