En mai, la ville de Lyon participe au challenge national "Mai à vélo". Le concept: encourager l'utilisation du vélo et savoir quelle ville de France pédale le plus.
Qui pédalera le plus? En mai, le challenge "Mai à vélo" prend place dans plusieurs villes de France. Cette initiative nationale entend encourager l'utilisation du vélo. Objectif pour la ville de Lyon: "Faire de la communauté cycliste de la Métropole la plus active de France!".
Un challenge via l'application Géovélo
Une consigne pour participer au challenge: installer l'application Géovélo et rejoindre le groupe de la Métropole de Lyon. Ensuite, à chaque trajet à vélo, les Lyonnais devront utiliser l'application ou rentrer manuellement leurs trajets. Les kilomètres parcourus seront alors totalisés et géolocalisés. Un défi qui s'achèvera à la fin du mois de mai avec un classement des villes les plus cyclistes de France.
Deux classements: collectif et individuel
Chacun des kilomètres parcourus par les Lyonnais au cours du mois de mai contribuera à faire progresser le compteur de la Métropole de Lyon. Un classement individuel sera aussi accessible pour voir qui aura réalisé le plus de kilomètres au cours du mois de mai sur le territoire.
"Mai à vélo" commence demain. Et ça tombe bien car il n'y aura ni métro, ni bus, ni tram pour le premier jour de ce challenge cycliste. En effet, les transports en commun seront à l'arrêt à Lyon ce dimanche 1er mai. Alors, envie de pédaler pour la Métropole?
Les cyclistes de longue date, ont-ils besoin d'un tel cirque médiatico-politique !
Pour les primo accédants ?
"""Qui pédalera le plus?"" aucun doute ce sont nos khmers qui pédalent dans la semoule, inconscients des problèmes créés par leurs décisions impactant des millions d'automobilistes de Métropole et limitrophe, qui ne se servent de la bagnole QUE par obligation .dont une partie des taxes auxquels ils sont assujettis sert au train de vie très confortables de ceux censés les représenter, voitures de fonction déplacements, réceptions, souvent parachutés dans la zone qu'ils représentent, dont l'historique montre comme le décrit si bien la fable qu'ils n'ont jamais eu d'autres occupations que celle de préparer leur accès au poste de "premier ministre" loin des préoccupations du peuple.