Immersion au cœur de la filière vidéoludique lyonnaise – suite au sacre d’un studio de Lyon ayant réalisé le meilleur jeu vidéo français – un juteux business, fortement créateur de richesses et d’emplois durables sur le territoire.
Dragon Ball Z de Bandai Namco Entertainment dont le siège européen est à Lyon Saviez-vous que le meilleur jeu vidéo français de l’année avait été créé à Lyon ? Que la filière aurhalpine du jeu vidéo pesait pas loin d’un milliard d’euros et employait 3 000 personnes ? Que tous les sortants des écoles de jeux vidéo lyonnaises s’arrachaient à prix d’or et, mieux, étaient débauchés avant même la fin de leurs études ? Pas sérieux le jeu vidéo ? La région est tellement cotée dans le milieu que les studios font des pieds et des mains pour venir s’y installer. Dernier exemple en date, un studio taïwanais ouvre – c’est en cours de finalisation – une antenne à Lyon, avec quatre-vingts emplois à la clé. L’été dernier, c’est l’éditeur de jeux vidéo parisien Microids qui a annoncé la création d’un nouveau studio de développement dans la capitale des Gaules. Il y a huit mois, suite à une levée de fonds de 150 millions de dollars, Virtuos, l’un des leaders mondiaux de développement de jeux vidéo (impliqué dans la plupart des blockbusters de l’industrie du jeu vidéo : “Fifa”, “Final Fantasy”) a renforcé sa présence en Europe en créant un studio au cœur du Grand Hôtel-Dieu.Il vous reste 84 % de l'article à lire.
Article réservé à nos abonnés.