Jugés pour avoir muré un local d’extrême droite en 2018, cinq militants "antifascistes", qui plaidaient "un geste citoyen", ont été reconnus coupables de dégradations, mais dispensés de peine.
Le 27 octobre dernier, cinq militants d'ultra gauche, présentés comme "antifascistes", comparaissent devant le tribunal correctionnel de Lyon pour avoir emmuré le Pavillon noir, bar associatif du Bastion social (ex-Gud), un groupuscule d'extrême droite dissous en avril 2019. Mardi 5 décembre, après un délibéré de plusieurs semaines, les cinq prévenus, âgés de 32 à 39 ans, ont été reconnus coupables de dégradations pour avoir érigé un mur d’une vingtaine de parpaings devant la porte du siège du Bastion social.
Ces trois hommes et deux femmes , dont l’avocat Me Forray avait plaidé en octobre "un geste citoyen" s’inscrivant dans la lutte contre l’ultradroite, ont revanche été dispensés de peine. Le parquet avait notamment requis une amende de 800 euros, avec ou sans sursis selon les prévenus.
Également poursuivis pour outrage à agent, les cinq accusés ont été relaxés de ces faits.
C'est un encouragement à recommencer.
Donc emmurons, mais qui paye le ciment et les moellons !
Murs, peinture, dégradation de radar ?? au bout c'est ce couillon de Kon tribuable qui paie.
Demandez un engagement officiel à votre député, vérifier alors son action sur le site de l'assemblée. Certaines mesures légales sont utiles, alcool, drogues,.. d'autres radars en circulation ,tri des poubelles, cheminées des collecteurs d' impots parfois privés !!!!!
"un geste citoyen" comme repeindre la préfecture !
C'est grave.