Le maire et le président écologistes de Lyon et de sa Métropole sont signataires d'un appel à la reconnaissance de l'Etat palestinien.
Le maire écologiste de Lyon et le président la Métropole, Grégory Doucet et Bruno Bernard, signent ce vendredi un appel pour la reconnaissance de la Palestine publié dans le journal l'Humanité ce vendredi. "Cette reconnaissance de la souveraineté palestinienne ne serait pas un aboutissement, mais l'ébauche d'une solution politique au conflit", indique Bruno Bernard sur son compte X (ex-Twitter).
"Le bon moment, c'était déjà hier, c'est ardemment aujourd'hui"
Signé entre autres par la député écologiste de Lyon, Marie-Charlotte Garin, le sénateur du Rhône, Thomas Dossus ou encore le député LFI Gabriel Amard, cet appel intervient notamment après que le président de la République, Emmanuel Macron, a indiqué être favorable à un reconnaissance à un "moment utile" et à condition que l'autorité palestinienne se "réforme".
"Le bon moment, c'était déjà hier, c'est ardemment aujourd'hui", écrivent les signataires de l'appel. Et d'ajouter : "La diplomatie doit imposer le silence aux armes." Pour rappel, selon le dernier bilan, plus de 35 000 personnes ont perdu la vie dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre et la riposte d'Israël aux attaques du groupe terroriste islamiste du Hamas.
Le 29 mai, le maire de Lyon avait décidé d'étendre symboliquement l'Hôtel de ville en mémoire des victimes civiles de gaza après le bombardement meurtrier d'Israël sur le camp réfugié de Rafah.
C'est pas le moment dit Macron.
Le bon moment c'est 1 million de gazaouis massacrés ?
A vomir ......
Fallait pas qu'ils commencent!
La ville de Gaza compte près de 700 000 habitants. Tandis que la population totale de la bande de Gaza dépasse 2 000 000 personnes dont environ un tiers vit dans des camps de réfugiés palestiniens, un autre tiers étant constitué des réfugiés vivant en dehors des camps" A chier...... !
Pauvre ignare !
Qui a envahit la Palestine en 1948 ?
Plan de partage de la Palestine, 29 novembre 1947 par l'ONU. Fin du mandat britannique en 1948, prévoyant notamment la création d’un État juif sur 53 % des territoires de la Palestine mandataire ainsi qu' un Etat arabe sur 43 % et une zone internationale d'une superficie de 2% pour Jérusalem et Bethléem. Les premières bases politiques en ce sens ont été posées lors du premier congrès mondial sioniste à Bâle en 1897.