La ligne TGV Paris-Lyon, effective depuis 1981 est au coeur des préoccupations des riverains de Cluny (Saône-et-Loire). Depuis plus de 30 ans, les associations tentent de trouver des solutions pour limiter les nuisances sonores. Une première avancée a été obtenue avec l'ouverture d'une étude par la SNCF pour envisager une réduction de vitesse.
La ligne TGV Paris-Lyon, mise en service en 1981, est vite apparue comme une source de nuisances importante que ce soit dans le Val Lamartinien ou dans la traversée de Cluny. Depuis près de 30 ans, l’Association de protection du Val Lamartinien lutte contre les nuisances générées par le passage des TGV sur le territoire abbatial. Car, ces nuisances provoquent à la longue des problèmes de santé chez les riverains comme des risques d'acouphènes, de surdité ou de perturbation du sommeil, comme l’indiquent nos confrères de France 3 Bourgogne Franche-Comté.
Concertation avec la SNCF
La maire de Cluny, Marie Fauvet, a sollicité la sénatrice de Saône-et-Loire Marie Mercier (LR), à la fin du mois d'août 2023, avec l'espoir d'interpeller SNCF Réseau. Après plus de 30 ans de bataille des acteurs associatifs, la SNCF lance une étude concernant un potentiel ralentissement des rames à hauteur de Cluny.
