Depuis mardi 5 novembre, le réseau de transport en commun de Grenoble est à l'arrêt. Une mesure prise suite à des menaces à l'arme à feu à l'encontre d'un contrôleur de bus.
Aucun tramway et peu de bus souhaitant se déplacer dans la ville et son agglomération. C'est la situation à Grenoble depuis le 5 novembre. Les transports des lignes A, B, C, D, E, C1, C2, C3, C4, C5, C6, C7, C8, 16, 18, 19, 20 et 22, sont entièrement coupés. Une décision prise par les agents de M Résô Grenoble, suite à des menaces à l'arme à feu, à l'encontre d'un contrôleur de bus dans la commune d'Echirolles.
A la suite d'un incident survenu mardi 5 novembre, les agents du réseau de transport en commun grenoblois ont décidé d'user de leur droit de retrait. Selon France 3, les syndicats demandent la mise en place d'une brigade de sécurisation des transports et des renforts de police sur la commune d'Echirolles, afin de lutter contre des violences trop récurrentes. En fonction des solutions apportées, le service pourrait exercer son droit de retrait au moins jusqu'au 7 novembre.
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