Un rock synthétique, punk électronique qui les a déjà consacrés en maîtres de l'underground bien peigné made in New-York .
En 2003, The Rapture enflammait les dance-floors les plus hype de New-York avec "Echoes", un premier album rock désordonné, sévèrement enraciné à la new wave de The Cure ou Gang of Four. Trois ans plus tard, le groupe n'a rien perdu de son élasticité, de son efficacité dansante et de ses refrains ultra-absorbants. Le chanteur, Luke Jenner, a (enfin) détourné sa voix de celle de Robert Smith et semble assumer définitivement le style du band, pionnier du revival punk-funk.
Avec "'Pieces of the people we love'', co-produit par Danger Mouse (à qui on doit notamment le tout bon Gnarls Barkley), Paul Epwoth et Ewan Pearson (Chemical Brothers, Depeche Mode, Gwen Stephani), The Rapture tente de mêler un rock charnel à de la techno-pop synthétique. Un son brut pour un mélange explosif.
> The Rapture (+Montevideo en première partie) le 23/02 au Ninkasi, Lyon 7e. 04 72 76 89 00.