Il a fait le ménage à droite, et dans une ville où Sarkozy a obtenu plus de 60% des voix, n'est pas franchement menacé par la gauche. Il jouera par contre très gros au Grand Lyon. Il a pris de gros risques avec des déclarations assez agressives vis-à vis-des maires divers-droite des petites communes qui ont voté Collomb en 2001, parlant d'une "trahison". Si un homme de droite, pourquoi pas lui-même, est porté à la présidence de la Courly, il aura démontré son influence et deviendra incontournable. Sinon, ses "amis" lui reprocheront fortement une démarche contre-productive.
Caluire, Philippe Cochet (UMP) : quitte ou double
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