Ce dernier avait attaqué Jean-Jack Queyranne (PS) pour diffamation, suite à sa ferme dénonciation, le 11 octobre 2004, des propos de Bruno Gollnisch sur l'existence des chambres à gaz. Le Président de la Région avait alors estimé que le nème2 du FN venait 'd'exprimer (...) des propos clairement négationnistes et a forte connotation raciste (...) des propos qui nous renvoient aux pires moments de notre histoire (...) portant atteinte à la vérité historique, au combat de tous ceux qui ont lutté au sacrifice de leur vie contre les nazis et leurs soutiens (...) sont une insulte aux résistants, aux victimes de la déportation et à leurs familles, aux justes qui ont sauvé des juifs d'une mort programmée.'
Ces déclarations avaient déjà valu à Gollnisch une condamnation à 3 mois de prison avec sursis et 5000 euros d'amende pour contestation de crime contre l'humanité. Le contre-feu que Gollnisch avait tenté d'allumer a donc échoué, ce dont Jean-Jack Queyranne se félicite dans un communiqué : 'En confirmant ce jour le jugement de première instance et en soulignant " la bonne foi " de Jean-Jack QUEYRANNE, la Cour d'appel de Lyon donne un signe fort à tous les républicains que leur vigilance de chaque jour pour défendre les valeurs de la République n'est pas vaine' explique-t-il.