Hugo Lloris (6) : Une bonne prestation d’ensemble jusqu’à cette 78ème minute où l’arbitre le sanctionne d’une faute synonyme de penalty. Une décision litigieuse et contestable. Serein dans les airs également.
Anthony Réveillère (4) : Un début de match difficile où il a été souvent pris de vitesse par son adversaire direct. Du mieux par la suite mais une fin de saison difficile pour celui qui espère toujours faire parti des 23 Bleus à la Coupe du Monde.
Dejan Lovren (4) : Directement responsable sur le penalty obtenu par les Valenciennois, il paraît plus à l’aise lorsqu’il est associé à Cris. Un talent brut certain.
Jean-Alain Boumsong (5) : Une partie solide. Il a notamment colmaté bon nombre de brèches grâce à son très bon placement.
Lamine Gassama (4) : En difficulté face à Ben Khalfallah, il a souvent laissé des espaces dans son dos. Il faut dire qu’arrière gauche est loin d’être son poste de prédilection. Remplacé en début de seconde période par Miralem Pjanic, peu en vue.
Jérémy Toulalan (6) : Une grosse activité dans l’entrejeu. Présent dans tous les duels, « la Toul » a une nouvelle fois fait figure de tour de contrôle au milieu de terrain.
Jean II Makoun (6) : Placé plus haut que ses compères du milieu, presque meneur de jeu, il a été dans tous les bons coups lyonnais. Un bon match de l’international camerounais.
Kim Källström (7) : Un but de toute beauté en début de partie et une prestation plutôt intéressante. Une énorme volonté sur chaque action.
Sidney Govou (4) : Beaucoup de déchets, de ballons perdus. Tout proche de l’expulsion suite à une vilaine semelle. Un match moyen pour celui qui dispute l’un de ses derniers matchs sous le maillot olympien.
Ederson (5) : Une bonne activité ternie par cette grosse occasion gâchée en fin de première période, synonyme de break pour l’OL. Le Brésilien retrouve de l’envie et de la percussion depuis quelques rencontres.
Lisandro Lopez (6) : Un match assez compliqué pour « Licha », avec assez peu de ballons touchés. Une activité débordante. Et comme un symbole, c’est lui qui provoque l’égalisation des Gones dans les arrêts de jeu, quand plus personne n’y croyait, sauf l’Argentin…