La vie est injuste avec les Grands de ce Monde. Depuis des années, Gérard Collomb, qui se définit à tout bout de champ comme “un maire sécuritaire”, nous rebat également les oreilles avec ses formules grandiloquentes, “Modèle Lyonnais”, "Lyon Grande Métropole Européenne”, "Lyon Rayonnement International” et au moment même où la capitale des Gaules devient enfin The Center of the World, il n’est pas là pour applaudir et en récolter les fruits. Le New York Times, le Washington Post, El Pais, Die Welt, The Australian, le Corriere della Serra, The Independent, toutes les télés et toutes les radios de tous les pays mettaient à leur “une” notre bonne vieille ville… Et toujours pas de Gérard. Mais où se cachait-il ?
Etait-il en train de deviser avec Obama pour organiser le prochain G20 à la Confluence ? Avec Poutine et Medvedev pour arrimer la Russie à l’Occident ? Avec Angela Merkel pour mettre en place la TVA anti-délocalisations ? Que nenni ! Etait-il au Sénat pour combattre le texte gouvernemental sur la réforme des retraites ? Pas davantage. Alors, vous séchez ? !
Comme chaque année à l’automne, blessant son cœur d’une langueur monotone, Gérard Collomb faisait rayonner Lyon… au Japon. Jules César avait lancé, en 47 avant notre ère, “Veni, Vidi, Vici”. Notre centurion local, toujours à la recherche d’une mythologie portative, a quant à lui lancé son appel de Tokyo : “Sushi, Maki, Sashimi”. Avant de revenir en catastrophe par le premier avion pour organiser “une grande conférence de presse” à l’hôtel de Ville. “On allait voir ce qu’on allait voir !”, avaient averti ses services. Parce que – quand même- quand on voit ce qu’on voit et qu’on sait ce qu’on sait, on est bien content de penser ce qu’on pense.
On est donc venu, à pied. On a vu, de nos yeux vu. On a vaincu, notre impatience : “Je condamne très fermement les dégradations”. "J’en appelle au calme et à la responsabilité”. "J’ai fait enlever les poubelles”. Puis, le maire s’est rendu à l’hôtel de Police avec le ministre de l’Intérieur, “descendu en urgence de Paris pour gérer la situation”. Nouvelle déconvenue. Les nombreux journalistes présents n’avaient d’yeux que pour Brice. Vexé, Gérard Collomb a filé à l’anglaise (les Anglais, eux, disent To take French leave), avant de rédiger un communiqué vengeur dont il a le secret : “Le ministre de l’Intérieur a décidé de venir à Lyon, pour ce que je croyais être une réunion de crise. Je regrette que le ministre ait souhaité en faire une opération de communication. […] C’est grâce au centre de supervision urbaine de Lyon, service municipal, qu’en temps réel, des images ont été transmises, à la police nationale”.
Aucun journaliste présent sur les lieux n’a su dire si Brice Hortefeux, habitué aux verdeurs de langage, lui a lancé “Casse-toi pauv’con”. Mais on enquête. Oui, la vie est vraiment injuste avec les Grands de ce Monde. Et c’est bien Andy Warhol qui avait raison, quand il prédisait, en 68 : “Dans le futur, chacun aura droit à 15 minutes de célébrité mondiale”.
Didier Maïsto
Directeur de la Publication
Merci M. Maïsto d'avoir retrouver notre Cesar. Nous étions très inquiets. Même si nous nous doutions bien que c'était pour le rayonnement de Lyon qu'on ne le voiyait pas trop. Et il faut reconnaitre à Cesar que Lyon a bien rayonné. Fumigènes, cocktails molotovs, ... tout y était. Parfait !
'Comme chaque année à l’automne, blessant son cœur d’une langueur monotone,...' Jubilatoire ! Merci Monsieur Maïsto d'avoir repris du poil de la bête. Gérard BombColl devient lassant, fatiguant, déplaisant, etc... Inutile ? Sur BFM il se déclarait présidentiable... OK. Mais comme aurait pu commenter Andy Wharhol : 'Pas plus de 15 minutes. Et encore... c'est un max.'
Encore un Merci Inspecteur Maïsto, nous allons pouvoir partir en vacances le coeur léger, les poubelles vidées, Cerbère est reviendu... Vous donner le ton et on attends la suite avec impatience : 'Tout suffocant et blême quand sonnera l'heure Il se souviendra des jours anciens et pleurera S'en s'ira au vent mauvais qui l'emporte A gauche , à droite, pareil à la feuille morte.'
magnifique jeu de dérision - presque du devos ! tant l'article lui-même que les commentaires ! ça met effectivement du léger dans la tête dans ce monde de brutes et de mégalomanes !
Cher Christian,(j'ai le même prénom, çà me fait tout drôle !) vous avez le verbe leste. Mais, vos propos me laisse...perplexe. Pour être franc, j'ai rien pigé ! Merci d'éclairer nos petites cervelles. Dévotion, dérision, mégalomanie ... Développez s'il vous plait*. (*SVP)(*please)
La forme est revenue, après le dernier édito coup de blues !Chapeau bas, Monsieur Maïsto vous m'avez fait beaucoup rire !Le ton choisit, colle parfaitement à la situation et posture adoptée, par le Maire de Lyon, pour sois-disant gérer cette crise.Par expérience personnelle à la ville de Lyon, j'ai constaté qu'il est plus facile de mettre des problèmes récurrents sous le tapis, que de les gérés correctement avec la tête haute.
Hum hum..... serait-ce une satire politique ou n'ai je rien compris à vos propos cher journaliste ??????
En tout cas j'ai bien ri à la lecture de cet article ! Est-ce une satire ? Je dirais : à peine. Dans la forme oui, mais sur le fond... C'est exactement la réflexion que je me faisais.
réponse à TELLO Ma contribution s'adressait entre autres aux lecteurs qui connaissent bien le contexte local et donc les petites 'habitudes' de notre cher sénateur-navigateur-explorateur des terres d'Asie, d'Amérique et bientôt d'Océanie (voyages payés sur le dos des contribuables ben voyons !) Mais quand j'ajoute que '1789 n'a pas fini son boulot', sans doute me comprendrez vous mieux !encore bravo à l'auteur de cet article, plein d'ironie adroite et bon we à tout le monde, il fait beau today, profitez en pour admirer Dame Nature et vous aérer un peu !
Hier vous parliez d'indépendance. Mais la tentation était trop grande pour vous ! Et dès la première occasion venue, à savoir les violences urbaines, vous nous rappelez non sans vulgarité votre parti pris idéologique, très à droite ! Comme le patron qui vous finance... Serai je censurée ? Sans doute. Sinon ayez le courage de laisser les internautes s'exprimer. Vos lecteurs n'en seront pas déçus.
@ EvelyneJe ne vois aucune vulgarité dans cet article, c'est la réalité qui est vulgaire. Je ne le trouve pas 'très à droite' non plus. Et apparemment vous n'êtes pas 'censurée' par le site, vous postez même votre commentaire deux fois ! Et que je sache, l'indépendance n'exclut pas d'avoir une ou des opinion(s).
@Evelyne. Vous confondez la notion d'esprits libres avec celle que vous avez admise de 'l'indépendance'. On reconnait un média très à gauche au fait qu'il s'annonce comme indépendant, n'ayant entendu le mot indépendance que dans le sens d'opposition au gouvernement... Si le sens existe, ne réduisez pas la notion d'indépendance à cette seule acception au risque comme vous le faite de déclarer 'non indépendant' ceux qui ne partage pas votre ridicule étroitesse d'esprit et votre absence patente de culture politique.
Un bel exemple d'indépendance, assez peu 'à droite'http://www.lyoncapitale.fr/lyoncapitale/journal/univers/Actualite/Edito/Y-a-bon-l-overnia/%28language%29/fre-FR
@EvelyneVous n'en avez pas assez, les collombistes, de répéter toujours la même chose? Droite, patron, censure... C'est lassant et ça fait: flop.
POUR EVELYNE, un texte de Philippe Muray, 'Le sourire à visage humain' plus connu sous le titre de 'Le sourire de Ségolène'.Notre époque ne produit pas que des terreurs innommables, prises d’otages à la chaîne, réchauffement de la planète, massacres de masse, enlèvements, épidémies inconnues, attentats géants, femmes battues, opérations suicide. Elle a aussi inventé le sourire de Ségolène Royal. C’est un spectacle de science-fiction que de le voir flotter en triomphe, les soirs électoraux, chaque fois que la gauche, par la grâce des bien-votants, se trouve rétablie dans sa légitimité transcendantale. On en reste longtemps halluciné, comme Alice devant le sourire en lévitation du Chat de Chester quand le Chat lui-même s’est volatilisé et que seul son sourire demeure suspendu entre les branches d’un arbre. On tourne autour, on cherche derrière, il n’y a plus personne, il n’y a jamais eu personne. Il n’y a que ce sourire qui boit du petit-lait, très au-dessus des affaires du temps, indivisé en lui-même, autosuffisant, autosatisfait, imprononçable comme Dieu, mais vers qui tous se pressent et se presseront de plus en plus comme vers la fin suprême. C’est un sourire qui descend du socialisme à la façon dont l’homme descend du cœlacanthe, mais qui monte aussi dans une spirale de mystère vers un état inconnu de l’avenir où il nous attend pour nous consoler de ne plus ressembler à rien. C’est un sourire tutélaire et symbiotique. Un sourire en forme de giron. C’est le sourire de toutes les mères et la Mère de tous les sourires. Quiconque y a été sensible une seule fois ne sera plus jamais pareil à lui-même. Comment dresser le portrait d’un sourire ? Comment tirer le portrait d’un sourire, surtout quand il vous flanque une peur bleue ? Comment faire le portrait d’un sourire qui vous fait mal partout chaque fois que vous l’entrevoyez, mal aux gencives, mal aux cheveux, aux dents et aux doigts de pieds, en tout cas aux miens ? Comment parler d’un sourire de bois que je n’aimerais pas rencontrer au coin d’un bois par une nuit sans lune ? Comment chanter ce sourire seul, sans les maxillaires qui devraient aller avec, ni les yeux qui plissent, ni les joues ni rien, ce sourire à part et souverain, aussi sourd qu’aveugle mais à haut potentiel présidentiel et qui dispose d’un socle électoral particulièrement solide comme cela n’a pas échappé aux commentateurs qui ne laissent jamais rien échapper de ce qu’ils croient être capables de commenter ? C’est un sourire qui a déjà écrasé bien des ennemis du genre humain sous son talon de fer (le talon de fer d’un sourire ? la métaphore est éprouvante, j’en conviens, mais la chose ne l’est pas moins) : le bizutage par exemple, et le racket à l’école. Ainsi que l’utilisation marchande et dégradante du corps féminin dans la publicité. Il a libéré le Poitou-Charentes en l’arrachant aux mains des Barbares. Il a lutté contre la pornographie à la télé ou contre le string au lycée. Et pour la cause des femmes. En reprenant cette question par le petit bout du biberon, ce qui était d’ailleurs la seule manière rationnelle de la reprendre ; et de la conclure par son commencement qui est aussi sa fin. On lui doit également la défense de l’appellation d’origine du chabichou et du label des vaches parthenaises. Ainsi que la loi sur l’autorité parentale, le livret de paternité et le congé du même nom. Sans oublier la réforme de l’accouchement sous X, la défense des services publics de proximité et des écoles rurales, la mise en place d’un numéro SOS Violences et la promotion de structures-passerelles entre crèche et maternelle. C’est un sourire près de chez vous, un sourire qui n’hésite pas à descendre dans la rue et à se mêler aux gens. Vous pouvez aussi bien le retrouver, un jour ou l’autre, dans la cour de votre immeuble, en train de traquer de son rayon bleu des encoignures suspectes de vie quotidienne et de balayer des résidus de stéréotypes sexistes, de poncifs machistes ou de clichés anti-féministes. C’est un sourire qui parle tout seul. En tendant l’oreille, vous percevez la rumeur sourde qui en émane et répète sans se lasser : « Formation, éducation, culture, aménagement du territoire, émancipation, protection, développement durable, agriculture, forums participatifs, maternité, imaginer Poitou-Charentes autrement, imaginer la France autrement, imaginer autrement autrement. » Apprenez cela par cœur, je vous en prie, vous gagnerez du temps. Je souris partout est le slogan caché de ce sourire et aussi son programme de gouvernement. C’est un sourire de nettoyage et d’épuration. Il se dévoue pour en terminer avec le Jugement Terminal. Il prend tout sur lui, christiquement ou plutôt ségolènement. C’est le Dalaï Mama du III e millénaire. L’Axe du Bien lui passe par le travers des commissures. Le bien ordinaire comme le Souverain Bien. C’est un sourire de lessivage et de rinçage. Et de rédemption. Ce n’est pas le sourire du Bien, c’est le sourire de l’abolition de la dualité tuante et humaine entre Bien et Mal, de laquelle sont issus tous nos malheurs, tous nos bonheurs, tous nos événements, toutes nos vicissitudes et toutes nos inventions, c’est-à-dire toute l’Histoire. C’est le sourire que l’époque attendait, et qui dépasse haut la dent l’opposition de la droite et de la gauche, aussi bien que les hauts et les bas de l’ancienne politique. Un sourire a-t-il d’ailleurs un haut et un bas ? Ce ne serait pas démocratique. Pas davantage que la hiérarchie du paradis et de l’enfer. C’est un sourire qui en finit avec ces vieilles divisions et qui vous aidera à en finir aussi. De futiles observateurs lui prédisent les ors de l’Élysée ou au moins les dorures de Matignon alors que l’affaire se situe bien au-delà encore, dans un avenir où le problème du chaos du monde sera réglé par la mise en crèche de tout le monde, et les anciens déchirements de la société emballés dans des kilomètres de layette inusable. Quant à la part maudite, elle aura le droit de s’exprimer, bien sûr, mais seulement aux heures de récréation. Car c’est un sourire qui sait, même s’il ne le sait pas, que l’humanité est parvenue à un stade si grave, si terrible de son évolution qu’on ne peut plus rien faire pour elle sinon la renvoyer globalement et définitivement à la maternelle. C’est un sourire de salut public, comme il y a des gouvernements du même nom. C’est évidemment le contraire d’un rire. Ce sourire-là n’a jamais ri et ne rira jamais, il n’est pas là pour ça. Ce n’est pas le sourire de la joie, c’est celui qui se lève après la fin du deuil de tout. Les thanatopracteurs l’imitent très bien quand ils font la toilette d’un cher disparu.
Mais qui est donc cette personne prénommée Evelyne qui semble soutenir le Maire et son équipe? En tout cas quel courage car sa solitude doit être pesante.
@populiste. C'est peut-être seulement Madame Eloi ? La lecture du texte de Muray risque, si elle comprend ce qu'elle lit de la faire fuir...
à mon avis pas sur qu'elle ait tout compris, la p'tite Evelyne de bon Aloi, des demi-mots non dits de philippe Muray - pas sur du tout qu'elle sache détecter le subliminal
@EvelyneComme Dominique vous y invite, je le fais à mon tour. Ce que j'aime sur ce site c'est que ce n'est pas 'mono-couleur'. Un autre lien sur un article que j'avais bien aimé, signé lui aussi du directeur.http://www.lyoncapitale.fr/lyoncapitale/journal/univers/Culture/Litterature/Pourtant-quelqu-un-m-a-dit-on-peut-rire-encoreOn attend un journal rose bonbon capable d'en faire autant sur un livre consacré à Ségolène Royal ou Martine Aubry par exemple... Pour Collomb, ce sera plus dur, personne n'a encore écrit sur son oeuvre. Mais peut-être que rire vous fait mal ? Personnellement ça me fait du bien.
Didier Maisto, ancien assistant d'un parlementaire de droite signe un édito anti Collomb soutenu par des militants de droite (Voire des élus ou des candidats) avec des arguments de droite. N'ayez pas honte de vos convictions. Moi je suis de gauche. Ce que j'ai entendu dans la rue, ce n'est pas 'Collomb salaud' mais bien 'Sarko on t'e.....'... Je n'y peux rien, c'est comme ça. Les Français qui manifestent sont eux aussi hostiles à la politique de l'UMP. C'est comme ça. Ne vous en déplaise et n'en déplaise à un journal financé par M. Christian LATOUCHE dont chacun connait les affinités politiques très à droite de la droite républicaine que visiblement vous n'incarnez pas.
PS : je suis flattée d'avoir générée autant de piteuses réactions ! J'espère que vous réagirez aussi nombreux à ce nouveau commentaire car cela prouve que vous êtes gênés aux entournures. Dur dur de se dire 'libre' quand on est totalement 'sous influence'. En tout cas Lyon Capitale n'est pas une presse d'opinion, mais bel et bien un organe de droite.
Il en semble même pas y avoir de confort dans vos certitudes, pauvre Evelyne.
Moi qui suis du Modem, indépendant, j'ai plus que bien rigolé. “Sushi, Maki, Sashimi” ***Il arrive que le rayonnement excessif et non contrôlé provoque brûlure et irritation. Si vous avez très mal, vous pouvez vous carrer une tour Oxygène ou je pense où essayer notre nouveau SPA Hotel Dieu 4**** qui vous requinquera pour de bon.
Salut Evelyne,Voici donc déjà deux des réactions attendues. ( Encore que Battling ne soit pas UMP !).Quant à Manin, il devient poète : son 'confort des certitudes' est une métaphore valable.Bon WE et à +
Gérard tu peux demander à Evelyne pour le rencard, she's OK !!
Gérard Eloi se veut aux élus PS lyonnais, ce que Trotski fut à Staline... La sanction viendra de ceux-la même qu'il défend avec outrance... Qui pouvait croire que notre petit baron fabriquerait des intégristes...
Quand le principal actionnaire du journal des esprits libres était invité du MNR de Bruno Mégret (http://www.m-n-r.fr/news382.htm) Merci de ne pas censurer messieurs les journalistes.
ça va mieux n le disant...
Gérard et Evelyne, le couple qui a donné sa vie à Gérard Collomb est victime d'un complot du capital ? Pour Gérard et Evelyne envoyez vos dons au cabinet du Maire.
Eh bien dites donc Evelyne, il était temps ! Je me disais, elle va bien finir par l'éructer son couplet 'anti-facho'. Maisto facho le peuple aura ta peau ! Latouche salaud le peuple aura ta peau ! Droite droite droite droite droite droite. Ca va mieux Evelyne ? Vous êtes soulagée ? Ouf on respire. La démocratie est sauvée. Jérôme Manin a raison, il manque quand même le second couplet : 'patrons voyous'. Allez, faites-nous plaisir, juste avant de faire chauffer la soupe ! S'il vous plaît... Oui merci de ne pas censurer messieurs les journalistes, ça devient drôle !!!
Après Maurice et Jeannette le couple totémique du PC, nous accueillons Gérard et Evelyne pour le PS lyonnais ! (Précisons Lyonnais car le modèle Lyonnais et l'exception collombiste agace plus d'un socialiste). Note pouvez vous nous faire une article sur leur vie, leur oeuvre au service du Parti Pris ? Maintenant qu'on à retrouvé Gérard...
@ jerome manin Excellent ! Et Maisto il a pas bossé avec Seguin aussi ? Un affreux pied-noir de DROITE. Et avec Chirac. Ah, on vous l'avait bien dit, c'est un complot.
ça n'est pas un couplet 'anti facho'. Ce sont des faits (sacrés pour les journalistes!). Ces faits ne gênent pas la conscience de la rédaction de cet organe, tant mieux pour eux. Ils ne gênent pas non plus les commentateurs de ce site. Plus vous défendez Latouche, plus vous défendez ses idées. Libre à vous. SVP continuez à commenter.
Bob Mar, tu nous fatigues.
'Christian Latouche est une sorte de Serge Dassault régional : un adepte des « idées saines », pas très éloigné de celles l’extrême-droite.'
Bob Mar, tu nous fatigues.
Bob Mar, tu nous fatigues. Allez, moi je te laisse, j'ai autre chose à faire (je vais au ciné). Je te croiserai peut-être au bar tout à l'heure, quand t'as bu t'es encore plus rigolo.
Et puis pour une fois, tu écriras sur un site qui a des lecteurs. Oui, pour une fois : tu seras lu. Bye bye.
Merci à Manin de compléter ainsi la bio du patron de la rédaction du journal des esprits libres en nous rappelant ses collaborations passées au coeur du système RPR. Libres... disiez-vous ?
Prenez une tisane Jeannette... 'S'il est important de bien conduire un mouvement revendicatif, il faut aussi savoir le terminer.' C'est de Maurice
Offff vous savez, je suis à peu prêt autant allergique à l'UMP qu'au PS.... Et je dois dire que je préfère lire Lyon Capitale maintenant que celui d'avant - à un moment je disais 'c'est un gratuit que l'on vend' ;-)Je voudrais profiter de la science d'Evelyne pour savoir si quand j'achète aussi mon Libé, le Baron de Rothshild se reprend un café, ou si quand par malheur je me toilette avec du Loréole, Lilianne s'invite au dessus de son lit ?. Répondez moi, je suis inquiet. Je pense aux 6 000 et quelques salariés de la ville de Lyon obligé d'adhérer au PS et de porter du Fushia ! Mdr
@Battling. Il y a plus de 6000 feuille de payes émises mensuellement par la Ville de Lyon, ne vous contentez pas des chiffres des autorités et n'oublier pas non plus les 4300 du Grand Lyon... On sait qu'il n'y a pas que des collombistes dans les agents de Gerarland, mais ils sont peu disert ou alors... Enfin, le rose fushia n'est obligatoire en dehors du service que pour les élus, les écrêtés et les rats de laboratoires qui commentent certains sites...
Autour des 6400 ETP ce qui fait pas loin de 10 000 feuilles de paye. Mais Evelyne ou Gérard Eloi vont nous donner des précisions.
ma chère Evelyne, quand on en arrive à l'insulte, c'est que l'argumentaire est bien pauvre !Moi aussi j'aime rire, et cet article m'a déclenché tout seul dans mon coin une sacrée rigolade ! et vos bien piètres réponses ne suffisent pas à me faire changer d'avis - je ne vous connais pas, mais vous provoquez chez moi un peu de pitié !Sache que je ne suis encarté dans aucun parti, et n'anime aucun complot contre vous (je ne connais aucun journaliste, ni contributeur de ce journal que je trouve bien courageux !) et c'est justement parce que j'ai cette distance par rapport à vous - qui manquez d'objectivité puisque retranchée dans un camp de partisans-courtisans - que je me marre sans retenue en lisant vos posts.Au fait, vos stocks de cirage doivent commencer à s'amenuiser non ? quoique ... pendant quelques jours là, vous étiez au chomage, sauf si la cireuse faisait partie du voyage !MDR sans rancune, bon we
Précisons avec Jerome Manin que Didier Maisto, le patron du journal des esprits libres, auteur de cet édito, a été attaché parlementaire, de 1993 à 1998, de 4 députés de droite dont Jean-Pierre Soisson. Libres Lyon Cap ?
Je crains que la référence ultime d'Evelyne ne soit Mag2Lyon 😉
Plus je commente, plus je sens la moutarde monter au nez des amis du journal des esprits libres. C'est bon de se sentir dans le vrai. PS : je n'ai insulté personne, sacré Christian ! En fait, je me rends compte que mis à part 2 ou 3 contributeurs perdus (Battling, manin ou qui sais-je d'autres) vous êtes en fait bien seuls sur ce site. Aucune comparaison avec les vrais journaux indépendants qui tirent leur liberté des multiples apports financiers (ventes, publicité) qui sont autant de garants d'une presse libre et vivante. Tout ce que Lyon Cap n'est pas, comme vous venez tous de me le prouver ce soir.
Des journaux indépendants ? en France ? Où ça ? - Sur le net il y en a mais côté papier ?
Me reste plus qu'à vous dire bonsoir. PS : je ne suis pas 'Bob Mar' ou un quelconque suppôt du grand satan Collomb. Je suis une militante lyonnaise, de gauche, assez dépitée d'ailleurs par le PS... Je ne commente jamais les articles de presse car j'aime la presse et je déteste le niveau médiocre des commentaires. Sur Lyon Cap, ils sont assez pauvres en contenu. Normal. Un journal sous influence ne peut générer du débat d'idées. Tant pis pour Lyon qui mérite mieux. Tant pis pour nous lecteurs. Et vous, je vous souhaite de vivre encore un peu car je ne vous hais point. Je vous regarde, simplement.
Intéressant de voir, chère Evelyne, combien de réactions de niveau zéro ont généré un ou deux de tes comm.Il y a même quelqu'un qui a le culot de signer ' J'écris ton nom...'Je vais repartir un moment à d' autres études : voir si finalement le Uhu de Jean Ray et le Horla de Maupassant ne seraient pas réincarnations du Necronomicon de Lovecraft.Le monde des contes noirs et leur possible envers du décor n'est pas plus sombre que celui de la politique...
Evelyne et Gérard, chers amis, envoyez nous le faire part des noces au journal qui transmettra, on ne veut point rater ce 'grand moment'.
Hélas, pas moyen de discuter sérieusement avec toi, Battling. J'aurais voulu savoir aussi pourquoi Fabrice Bourland a repris Dupin, de E. Poe, pour relancer l'enquête sur la mort de Nerval.Mais le silence me répondra...
'Attention aux excès de rayonnement' dit l'écho.
@Gérard Eloi. Maudit par l'esprit sans jamais n'effleurer que la poésie des autres... N'hésitez pas à habiter plus avant le silence qui seul vous fait paraitre, 'Mal inspiré celui qui se crierait son propre contemporain.' SM
@ Gérard Eloi / Evelyne / Monsieur le Professeur / Madame 'la militante dépitée du PS qui regarde simplement'Je préfère le Fantôme de Baker Street à celui des Terreaux. Quand la Clergesse parle et quand vous vous taisez. La Cité sans Nom à celle sans Courage.Quant à Maupassant, vous auriez sans hésitation votre place dans Les Contes de la Bécasse, Monsieur le Baron des RaGots. Tel un domestique servile que n'aurait renié Pavlov, vous lâchez, entre deux orchidées vieux rose, quelques pigeons malades par votre fenêtre grinçante mais votre tourniquet n'est plus qu'une pauvre girouette rouillée.Vous ne parlez qu'avec vous-même et vos avatars, tout gonflé de votre propre suffisance.Vous êtes l'archétype, jusqu'à la caricature, d'une certaine gauche bourgeoise contente d'elle-même, qui produit du vent, pense qu'elle est La Seule à Penser, et qu'il suffit de mépriser ceux qui ne pensent pas comme Elle pour devenir subitement intelligente et sauver le monde. Les Humanistes d'un côté, les Salopards de l'autre.Cette gauche pour laquelle j'ai hélas déjà voté et qui me fait honte aujourd'hui, tant elle vit repliée sur elle-même, entre elle, bien au chaud dans ses privilèges et ses certitudes, dans un monde qui n'existe plus que dans quelques cervelles shootées aux souvenirs de 68.Votre morgue est terrible mais votre talent est petit. Et comme le dit très bien Jérôme Manin, 'vous n'effleurez que la poésie des autres'. Ou Battling : 'Attention aux excès de rayonnement'.Nerval, que vous citez -mais l'avez-vous même lu, Monsieur 20 sur 20, vous qui parlez sans cesse du niveau zéro des commentaires des autres internautes ?- vous incitera peut-être à un minimum de modestie. CALIGULA, ça devrait vous parler, Petite Sandale, ou devrais-je dire Agrippine la jeune dépitée ? Caligula, IIIe ChantCésar a fermé la paupière ; Au jour doit succéder la nuit ; Que s'éteigne toute lumière, Que s'évanouisse tout bruit.A travers ces arcades sombres, Enfants aux folles passions, Disparaissez comme des ombres, Fuyez comme des visions.Allez, que le caprice emporte Chaque âme selon son désir, Et que, close après vous, la porte Ne se rouvre plus qu'au plaisir.
Le vide intersidéral est-il plus profond que le vide interatomique ?La réponse à cette nébuleuse question est sans doute toute relative.Mais pour que la relativité devienne compatible avec la mécanique quantique, faut-il donc chiffonner ces univers ?
Au sujet de moins que peu de chose, doit-on dire :-Ce n'est rien ou -C' est rien ?(Et si les deux expressions sont correctes, y-a-t-il une nuance importante entre les deux ?)COROLLAIRE :Quand Sarkozy parle du peuple, dit-il :-Ce n'est rien ou -C'est rien ?
Mais oui Monsieur Le Professeur, mais oui. Certes. La masturbation intellectuelle le dimanche à 9h30, c'est pas bon ou (ce n'est pas bon) pour votre prostate. Votre univers n'est pas chiffoné, il n'est qu'anti-matière.
@Gérard Eloi. Le mode 'c'est celui qui dit qui est' est puéril et d'une niaiserie abyssale, pensez-y avant de vous remettre en boucle...
@jerome maninIl est vraiment bizarre ce Gérard Eloi/Evelyne. Il s'en est pris une bonne et il revient encore à la charge. Il ne manque plus que 'na na na nanère'.
Le cube est en quelque sorte un carré en trois dimensions, il serait au carré ce que la sphère est au cercle. Ce qui ne veut pas dire que c'est en arrondissant les angles qu'on résoudra la quadrature du cercle.Un carré en trois dimensions, avec six faces qui sont autant de carrés rigoureusement égaux. Sortent donc du cubisme des objets usuels comme les pyramides, les roues de brouette ou les boîtes à chaussures.Quant au cubisme, c'était une école de peinture où les règles étaient plus souples qu'en géométrie. La licence poétique crée un flou, on peut qualifier ce flou d'artistique.La licence politique, elle, a engendré le flou populiste. Qui, lui, n'a rien d'artistique. Voir les dernières déclarations de Havard, par exemple,...
C'est vrai qu'il tourne pas mal en boucle ;-)) Eloi le disque qui ne se raye jamais, ne se raye jamais, ne se raye jamais ne se
On a un coeur cela dit 🙂 et je comprends cela dit le malaise des gens de gauche condamnés à vivre dans une ville où le bon maire socialiste se comporte à l'exact l'identique du conservateur Nicolas Sarkozy !Derrière les grands discours, les actes sont similaires. Comme vous souffrez, je compatis.
@BattlingOn ne saurait mieux dire. C'est tout leur problème : chaque fois qu'ils tapent sur Sarko -et les raisons ne manquent pas- ils tapent de facto sur Collomb. Et quand Sarko tape sur Collomb par l'intermédiaire d'Hortefeux, ça devient vraiment compliqué... Ah c'est dur d'être socialiste quand on défend une politique de droite. Et c'est dur d'être de droite quand on veut plaire à la gauche... Ca fait un peu arnaque sur la marchandise et après les militants sont tous désorientés.
Nous avons à Lyon la gauche la plus bête de France, un sujet de rayonnement qui devrait ravir notre grande citrouille de père Ubu. Après les Gérards du cinéma et les Gérards de la télévision, je vous propose de creer les Gérards de la Politique ? On a déjà notre cumulocandidats et une armée de dauphins et de dauphines... Qui est partant ?
Pourquoi ne pas proposer une nouvelle émission de réality-show à la télévision: 'on a échangé nos Maires pour... toujours' ??.
Très bonne idée ça! Lyon Cap au boulot!