De Mercier à Ginon : Plus-value immobilière et intermédiaire-ami

La vente par le conseil général du Rhône du Petit Fontanière, superbe domaine donnant sur la Saône, a été invalidée par la justice. Entre commissions et grosses plus-values, le dossier fait apparaître le nom de l’un des plus grands patrons de Lyon : Olivier Ginon. Une enquête à lire dans Lyon Capitale-le mensuel de janvier. Extrait.

Le Département dirigé par Michel Mercier est engagé depuis plusieurs années dans une opération de perte de gras. On vend à tout-va et particulièrement les bijoux de famille. Terrains ou biens immobiliers, c’est à une vaste opération de déstockage que se livre l’institution départementale. Pour l’intérêt des finances locales ? Pas toujours, si l’on en croit l’affaire de la vente d’un superbe domaine en bord de Saône, à La Mulatière, qui porte le nom coquet de Petit Fontanière.

Outre l’appel d’offres, jugé illégal par le tribunal administratif de Lyon en septembre dernier, les actes du bureau des hypothèques nous apprennent que la vente du Petit Fontanière a permis à des intermédiaires de toucher d’importantes rétributions financières, alors même que le conseil général était informé des intentions vénales des acquéreurs du site.

L’intégralité de cette enquête est à lire dans Lyon Capitale n°718, en vente en kiosques jusqu’au 24 janvier, et dans notre boutique en ligne.

Erratum : "Pan sur le bec!" pour plagier de célèbres confrères. Une erreur s'est glissée dans l’encadré sur les calculs de surface du conseil général, le montant final correct est de 2,20 millions d’euros et non 220 millions d'euros.

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