Alexandre Gabriac, fondateur des jeunesses nationalistes, a réagi sur Twitter après l'arrestation d'un militaire qui préparait un attentat contre une mosquée de Vénissieux. Il y voit un "acte isolé de colère légitime".
Comme à son habitude, le conseiller régional de Rhône-Alpes et fondateur des Jeunesses nationalistes (association dissoute en juillet dernier), n'a pas tardé à réagir à l'arrestation d'un militaire de 23 ans sur la base aérienne du Mont-Verdun, près de Lyon. L'homme aux idées réputées "proche de l'extrême droite radicale", d'après le ministère de l'Intérieur, envisageait l'attaque d'une mosquée de Vénissieux.
Sur son compte Twitter, Alexandre Gabriac y voit une conséquence de la dissolution de son organisation. "Le Gouvernement a voulu nous dissoudre ? Qu'il prenne ses responsabilités face à des actes isolés de colère légitime que nous ne pouvons plus contrôler",publié dimanche soir. Alexandre Gabriac a par ailleurs annoncé qu'il allait attaquer cette décision de dissolution devant le Conseil d’État.