Dans Commando, en 1985, le très subtil Arnold Schwarzenegger se fendait à son propos d’un “On devrait l’appeler Girl George, ça prêterait moins à confusion”. Lol. Reste qu’aujourd’hui le terme Boy pourrait à 53 ans s’avérer éculé. C’est oublier que l’Anglais est toujours fringant : en 2007, l’auteur de Do you really want to hurt me ? avec Culture Club a même défrayé la chronique judiciaire en se livrant à des travaux pratiques avec un escort… boy, qui l’ont mené droit en prison.
Mais la George est renée de ses cendres, notamment en collaborant à un album de Régine – il faut ce qu’il faut – et en remixant Amanda Lear (enfin, l’un de ses titres). Revoici Boy George avec un album (This is What I Do) et une tournée. Oh Boy !