Les Hospices civils de Lyon (HCL) ont reconnu un “retard de diagnostic”, le corps médical n’ayant pas immédiatement décelé la présence de la pile dans l’œsophage de l’enfant, originaire de Pont-de-Chéruy, en Isère.
Un an d'hospitalisation et plusieurs dizaines d'interventions n'auront pas suffi. Faustine s'est éteinte le 15 juillet, à quelques jours de fêter ses trois ans. Ses parents pointent des négligences de la part des urgences de l’hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron. Président du comité médical d’établissement des Hospices civils de Lyon (HCL), le professeur Olivier Claris a évoqué cette prétendue responsabilité. "Pour le décès de l’enfant, pour l’instant, ce n’est pas clair. Ce qui est indiscutable, c’est qu’il y a eu un retard de diagnostic de 48 heures", a déclaré le médecin.
“Retard de diagnostic”
Le 11 juillet 2016, alors que Faustine se trouve en grande difficulté respiratoire, ses parents l'amènent aux urgences, à Bron. Après avoir effectué une radio, un médecin conclut à une bronchite. La famille rentre alors à Pont-de-Chéruy, en Isère, où elle vit. Mais, quelques jours plus tard, nouvelles difficultés respiratoires pour l'enfant et nouveau départ pour Bron. L'interne de garde décèle alors la présence d'une pile-montre au lithium. Une opération d'urgence est nécessaire. Des dégâts irréversibles ont été causés à son œsophage.
Une radio pas prise en compte
Après un an d'hospitalisation et de multiples interventions sous anesthésie générale, la petite fille est finalement décédée brutalement le 15 juillet, quelques jours après sa sortie de l'hôpital. Ses parents pointent le mauvais diagnostic lors de leur première visite aux urgences comme en partie responsable du calvaire de leur fille. "Une radiographie a été effectuée et une image très particulière n’a pas été prise en compte, note Olivier Claris, qui est aussi à la tête du service néonatalogie à l’hôpital Femme-Mère-Enfant. Il n’y a pas d’explication."
Qui est cet analphabète Antoine Sillières qui ne prend même pas la peine de se relire (c'est une insulte et un mépris désinvolte à l'égard des lecteurs) et qui commet des fautes impardonnables car dignes d'une dictée de classe de 5è? 'Des dégats irréversible' (pas de s à irréversible, marque de pluriel) puis, plus loin 'ses parents pointe' (sic!): quel torchon ce LYON CAPITALE car ils sont nombreux, parmi les rédacteurs à être nuls en orthographe et grammaire. Et ils pondent des articles de 15 lignes. Putain changez de métier les gars vous n'arriverez à rien vous êtes trop des brèles. Et la direction de LYON CAPITALE semble tout autant nulle pour laisser passer de telles fautes. C'est à vomir.
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Taper sur ceux qui font des fautes est facile. Mais c'est taper sur des victimes innocentes... la vraie coupable est l'Education (sic) Nationale (re-sic) qui est devenue en 2 ou 3 décennies une usine a sortir des ânes politiquement corrects, illettrés et surtout dociles.