La 6e édition des rencontres documentaires au Ciné Toboggan se déroule du 8 au 13 mars. Lyon Capitale vous invite à la première soirée.
Pour la sixième année consécutive, le Ciné Toboggan de Décines organise “Les Écrans du doc”, 5 jours de projections de films documentaires, du 8 au 13 mars.
Lyon Capitale, partenaire de l’événement, propose à cette occasion des invitations pour assister à la soirée d’ouverture, le 8 mars. Seront projetés en avant-première ce soir-là les documentaires Il m’a appelée Malala (en VOST) à 18h15 et No Land’s Song (en VOST) à 20h30.
La séance sera suivie d’un débat avec Faezeh Mohebi, présidente de l’Association culturelle franco-iranienne de Lyon, et Massoud Salari, journaliste et écrivain spécialiste de l’Iran.
Pour assister à ces projections, envoyez un mail à invitations@lyoncapitale.fr en indiquant la séance de votre choix ainsi que vos nom et prénom (invitation pour deux personnes). Un mail de confirmation vous sera envoyé dans les 48h.
Les deux films au programme : Malala et No Land’s Song
Il m’a appelée Malala, de Davis Guggenheim
1h27 – États-Unis – 2016 – VOST
Ce film de Davis Guggenhein trace le portrait intime de Malala Yousafzai, cette jeune fille afghane devenue la cible des talibans pour avoir milité en faveur de l’éducation des filles dans son pays. Après avoir survécu à l’attaque visant son bus scolaire, elle a été la plus jeune lauréate à recevoir le prix Nobel de la paix en décembre 2014. Depuis, elle incarne à travers le monde entier le symbole de la lutte pour les droits des enfants.
No Land’s Song, d’Ayat Najafi
1h31 – France/Iran/Allemagne – 2016 – VOST
En Iran, depuis la révolution de 1979, les femmes n’ont pas le droit de chanter en public en tant que solistes. Une jeune femme, Sara Najafi, avec l’aide de trois chanteuses françaises (Élise Caron, Jeanne Cherhal et Emel Mathlouthi), va braver censure et tabous pour tenter d’organiser un concert officiel de chanteuses solo à Téhéran.
La solidarité interculturelle et le pouvoir révolutionnaire de la musique triompheront-ils ? Thriller politique et voyage musical, No Land’s Song ne perd jamais de vue son véritable combat : la voix des femmes.