Le tribunal de commerce d’Aix-en-Provence étudie à partir de ce mardi 30 septembre le dossier du dentiste low cost. Une nébuleuse de sociétés commerciales dont l’une est en redressement judiciaire depuis le 31 juillet.
L'administration fiscale a mis le nez il y a quelques mois dans les affaires pas très nettes du businessman touche-à-tout Pascal Steichen, auxquelles Lyon Capitale a consacré plusieurs enquêtes ces dernières années, notamment à ses victimes.
D'après nos informations, trois redressements et quatre contrôles fiscaux ont été notifiés à Pascal Steichen et deux de ses sociétés. (Tout le détail ici.)
C'est ce “système Dentexia” que le tribunal de commerce d'Aix-en-Provence est amené à étudier à partir de ce mardi 30 septembre. Les juges consulaires auront à se prononcer sur deux points : d'une part, l'examen du sort d'Efficiences Odontologiques qui gère la galaxie des centres dentaires Dentexia, en redressement judiciaire depuis le 31 juillet à la demande du parquet ; d'autre part, le plan de continuation de la société NPS, éditrice de revues et de périodiques dentaires. Deux sociétés étroitement imbriquées. Le tribunal devra juger si leur rapprochement avait pour objet d’épurer les comptes déficitaires de Dentexia.