Entre avril 2018 et mars 2019, l'Europe a vécu sa période la plus chaude depuis que les températures sont enregistrées. À Lyon, la moyenne des douze derniers mois est plus élevée de 2 degrés par rapport à la période de référence.
Le Copernicus Climate Change Service a publié son bulletin du mois de mars sur l'évolution des températures. Le document témoigne de changement qui s'opère sur notre climat. Ainsi la période d'avril 2018 à mars 2019 est la plus chaude jamais enregistrée en Europe. Sur le continent, la température a dépassé de plus de 1,5 degré la normale de 1981 à 2010 (période de référence). Ce sont ainsi les douze mois consécutifs le plus chauds jamais relevés en Europe. Sur la partie Est du continent, les températures sont parfois supérieures à 3 degrés par rapport aux normales. Par ailleurs, mars 2019 a été le 2e mois de mars le plus chaud jamais enregistré en Europe, juste derrière 2016.
L'étude de Copernicus ne donne cependant pas les détails ville par ville. Ainsi, pour Lyon, nous avons ainsi comparé les données publiques fournies par Météo-France pour les mois d'avril 2018 à mars 2019. Pour la moyenne des températures les plus basses relevées, elle s'établit à 9,61 degrés, contre 8,1 pour la période de référence 1981-2010, soit + 1,51 degré. Pour celle des températures les plus élevées, elle est de 19,47 degrés, contre 16,9 pour la période de référence, soit + 2,57 degrés. En moyenne, les douze derniers mois ont été plus chauds de 2 degrés par rapport à 1981-2010. Même si cette échelle de douze mois est bien trop réduite pour indiquer une accélération du réchauffement climatique, elle témoigne d'une période largement plus chaude que la moyenne.
Lyon : ville de France la plus touchée par le réchauffement climatique
réchauffement climatique , des valeurs fiables, connues depuis moins de 150 ans alors que la planète à 4.55 milliards d'années , l'univers probablement 3 fois plus, vouloir imputer cette tendance à l'activité humaine , beaucoup de prétention .Vouloir agir sur la tendance à venir , !!!!!!!!!!!!!!!!!
Croire que les activités humaines sont neutres dans l'évolution hyper rapide actuelle du climat, c'est rejeter la responsabilité d'une consommation de pétrole à outrance.
La raison de ce rejet de responsabilité est purement monétaire (activité économique) et lié au confort que certains ne veulent pas perdre (confort sur le dos des autres et aussi de leur santé).
Ils veulent se déplacer "comme des dieux" - vite et au moment où ils veulent - gérer le temps et l'espace à leur guise.
C'est un manque d'humilité et de respect des limites.
Des milliards de tonnes de pétroles qui étaient enfermées dans la terre, rejetées dans les airs ne peut pas être "neutre" même si les masses de gaz respirable semblent énormes.
Mais le CO2 n'est qu'une partie du problème. Le problème principale est l'empoisonnement généralisé qui perdurera, avec des matières cancérigènes déposées partout par la combustion du pétrole.
(les façades des immeubles n'en sont qu'une partie visible liées aux suies).
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Et là, la responsabilité des usagers des voitures, du système de transport (sans oublier les navires) qui est organisé autour de la consommation du pétrole, sont indéniables.
Lyon est une ville polluée et pollueuse. Ne l'oublions pas.