Tout juste quarante jours après le début de l’invasion russe en Ukraine et alors que plus de 4 millions d’Ukrainiens ont fui pour trouver refuge dans d’autres pays, les arrivées de déplacer de la guerre se poursuivent en France. Notamment celles d’enfants qu’il faut désormais scolariser. À la date du 31 mars, 368 avaient déjà été accueillis dans l’académie de Lyon.
Il y a une semaine, on estimait à 30 000 le nombre de réfugiés ukrainiens arrivés en France depuis l’invasion de leur pays débutée le 24 février par la Russie sur ordre du président Vladimir Poutine. Un certain nombre ne font que transiter, mais ils sont tout de même nombreux à rester dans l’Hexagone pour trouver un hébergement, pas moins de 15 000, selon les chiffres communiqués par la ministre déléguée chargée du Logement, Emmanuelle Wargon.
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Dans la Métropole de Lyon, au 29 mars, le centre d’accueil de protection temporaire pour les Ukrainiens, installé à Villeurbanne, avait déjà accueilli 150 personnes déplacées depuis sa mise en place le 28 mars. Parmi eux, des enfants qu’il faut désormais scolariser dans l’académie de Lyon. Il y a cinq jours, ils étaient déjà 368 à avoir trouvé une place dans un établissement du premier ou second degré du Rhône, de la Loire ou de l’Ain.
L'académie de Lyon, 4e terre d'accueil de France
L’académie de Lyon est ainsi l’une de celles qui accueillent le plus d’enfants ukrainiens, derrière Nice (674), Versailles (589) et Grenoble (432). Un chiffre qui pourrait être amené à augmenter rapidement, alors qu’à très court terme le ministère de l’Éducation estime que de 6 873 élevés accueillis depuis le 24 février dans les écoles, collèges et lycées, la France pourrait passer cette semaine à 10 000. Le gouvernement assure toutefois "avoir encore de la capacité d’accueil" pour répondre à l’arrivée de ces jeunes réfugiés.
Merci aux familles d'accueil qui hébergent chez eux, à la maison, des ukrainiens.
Merci aux chefs d'établissements, qui organisent l'école, aux enseignants, profs et maitre-sses qui font le job, tous les jours, pour que ces enfants continuent d'apprendre, grandir, et garder confiance et espoir.
Vous êtes les armes d'un futur meilleur.
Vous êtes indispensables.
Дякую
Bravo aux accueillants;;Vous verrez que bien qu'ayant subis les traumatismes liés à une guerre, ces enfants s'adapteront, intègreront rapidement notre mode de vie au point que d'ci la fin de l'année scolaire , ils seront impossibles de les différencier des nôtres, respectueux des lois , des enseignants, La raison est évidente nous la connaissons tous, Fermons nos frontières réservons mais notre accueil à ceux qui cultivent le même mode culturel, issus du même continent
L'Ukraine, c'est l'autre nous même de l'Europe. Pas de contentieux historique, culturel, religieux, économique avec ce peuple. Déjà + de 3 millions de vrais réfugié.es de guerre, il va falloir faire de la place pour eux. Vu l'état dans lequel l'Ukraine va se trouver, nombre de ces femmes et enfants ne vont pas y retourner avant longtemps.. peut-être jamais. Population fragilisée et vulnérable. Quand aux hommes de 18/60 ans, restés au pays pour combattre: pères, maris, frères, amis, amants.. ? Or, les anciens pays socialo -communistes sont devenus les nouveaux fascistes : Russie, Chine, Corée nord, Syrie, Afghanistan, Cuba, Venezuela.