Jean-Michel Aulas, via sa société ICMI, a emprunté 31,5 millions d’euros en juillet 2013 pour souscrire à l’émission d’obligations du début des travaux du Grand Stade. Plus que jamais, l’homme fort de l’OL met personnellement la main à la poche pour son projet.
On en sait un peu plus sur les moyens de financement du Grand Stade de l'Olympique lyonnais. En allant fouiller dans les comptes d'ICMI, la société personnelle de Jean-Michel Aulas, qui possède 34,2 % des parts de l'OL, l'association Déplacements citoyens a mis au jour un emprunt de 31,5 millions d'euros. Dans quel but ? Pour pouvoir souscrire les 33 millions d'obligations remboursables en actions émises par l'OL Groupe pour lancer les travaux. L'emprunt arrivera à échéance en juin 2018. Au total, ICMI affichait 49 millions de crédits bancaires au 31 décembre dernier.
En clair, Jean-Michel Aulas met personnellement la main à la poche pour construire son Grand Stade. Surtout, il prend sa part de risques inhérents au projet, avec cet emprunt conséquent pour son entreprise.
qu'il se soit endetté (ou plutôt sa société présidée par son fils) ou pas, pour acheter des obligations (pm. dont personne ne voulait)pour finaliser le financement du stade, c'est SEYDOUX qui détient actions et obligations en plus grand nombre, soit plus de 50 % du total du capital quand les osreanes seront venues à échéance. D'ailleurs, compte tenu de la dévaluation incroyable de l'action (24€ en 2007, 2,42€ today) AULAS, contrairement à SEYDOUX ne figure plus parmi les 500 plus grandes fortunes de Fra