Après le discours de Jean-Claude Juncker ce matin devant le Parlement européen, Françoise Grossetête interpelle le président de la Commission sur la “crise des migrants”.
Une semaine, c'est le délai donné aux vingt-huit pays membres pour se mettre d'accord sur la répartition des 160 000 migrants en transit aujourd'hui au sud de l'Europe, en Grèce, en Italie ou en Hongrie. Jean-Claude Juncker l'a annoncé ce mercredi matin lors de son premier discours sur l'état de l'Union au Parlement européen. Pour le président de la Commission européenne, cette répartition doit se faire “de façon obligatoire” et sans distinction entre les réfugiés selon leur religion.
Suite à ce discours, la députée européenne Françoise Grossetête a tenu à interpeller le président de la Commission européenne par communiqué. La conseillère régionale (Les Républicains) de Rhône-Alpes s'est positionnée auparavant pour un accueil, mais en distinguant les réfugiés des migrants économiques. Et plus qu'une solution en interne, Françoise Grossetête appelle l'UE à agir à l'extérieur de ses frontières : “L'Europe doit enfin agir de concert sur la scène internationale pour s'attaquer aux racines du mal et peser sur les conflits qui se déroulent à ses portes. Nous ne pouvons plus laisser faire !”
Monsieur Juncker devrait tous les prendre au luxembourg nous n'avons rien demander .Nous avons assez de pauvres en France sans en rajouter .Pour mémoire nous avions voter non à l'Europe , nos banlieues sont pleine à craqué ( plus de 50 % de chômeurs ) pourquoi en rajouter !!!!
Si nous vivions en démocratie, Juncker le luxembourgeois n'aurait rien à décider pour notre république, trahis par ses élus le peuple de France doit courber la tête.Souvenons nous en décembre en attendant 2017 pour virer ceux charger de défendre la république à la solde de la finance .