Pour les 80 ans de l’arrestation de Jean Moulin, une plaque commémorative a été déposée sur la façade de l’immeuble du 2 Place Antonin Judard à Lyon 3, que le résistant a occupé clandestinement de septembre 1942 a juin 1943, avant d’être arrêté.
Sous une pluie battante, drapeau à la main, il fallait de nouveau pour ses anciens combattants rendre hommage à Jean Moulin. Devant ce bâtiment du quartier de la Guillotière, ils sont venus en nombre à l’occasion de l’anniversaire de l’arrestation de la figure emblématique de la résistance. "Au pied de cet appartement, c’est devenu un endroit de recueillement", souligne Philippe Cochet maire de Caluire-et-Cuire.
Une plaque de commémoration déposée
Pour perpétuer l’histoire de Jean Moulin "et pour que personne n’oublie", exprime le maire de Lyon, Gregory Doucet, une gerbe de fleurs et une plaque ont été accrochées devant l’immeuble. Élus, membres d’associations et préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes, tous ont tiré sur ce petit bout de ficelle pour laisser apercevoir les inscriptions de la gravure. "Jean Moulin. Unificateur de la résistance a habité clandestinement dans cet immeuble de septembre 1942 au 21 juin 1943 jour de son arrestation à Caluire". Avec les yeux rivés sur ses mots un sentiment de fierté commune semble se dégager des visages de personnes présentent sur place.
Les derniers pas d’homme libre de Jean Moulin
C’est en partant de ce lieu qu’il effectuera son dernier parcours d’homme libre avant de se diriger à Caluire dans la maison du docteur Dugoujon "ou devait se tenir une réunion importante pour unir les mouvements de résistance" appuie la fille du docteur Dugoujon, Frédérique Dugoujon. Un rassemblement qui n’aura pas lieu puisque la Gestapo arrêtera Jean Moulin, et certains de ses compagnons, le 21 juin 1943. "Que ce soit mon père ou Jean Moulin, ils étaient habités par ce sentiment de liberté", appuie la fille du docteur de Caluire-et-Cuire.
Après avoir déposé cette plaque commémorative dans le quartier de la Guillotière, une visite de l’ancienne maison de la famille Dugoujon aura lieu en fin de journée.
Lire aussi : 21 juin 1943 : Jean Moulin trahi et arrêté
Une plaque publique serait aussi la bienvenue rappelant les massacres à Lyon par les révolutionnaires républicains durant la Terreur entre octobre 1793 et avril 1794 (1 600 à 2 000 personne exécutées). Liberté Egalité Fraternité !
**« Vivre en travaillant ou mourir en combattant ** c'est oublier un peu vite les Canuts révolte de 1831...
Janus, **La seconde Terreur (5 septembre 1793-28 juillet 1794) Après la chute des Girondins, sous la domination des Montagnards, la Terreur vise à assurer la défense de la nation contre les ennemis de l'extérieur . commémorer ces gens et pourquoi pas la milice!
En l'occcurence historique et pendant 1 an la 1° Terreur visait à assurer la défense de la Convention révolutionaire contre les ennemis de l'intérieur.. à Lyon, en Vendée. Le coup f'état bonapartiste à stopper net. ce fraticide massacre ! D'autres ont suivi l'exemple : bolcheviques, maoïstes, vietminhs, khmers rouges.. etc
**contre les ennemis de l'intérieur. !!! à la solde de la royauté**
** vietnamiens, ,** qui luttaient pour leurs indépendance !!.
**bolcheviques, maoïstes, , où comment s'affranchir des empereurs , en ont fait deux grandes puissances!
Oser mêler Jean Moulin à cet équipage , sans doute une réminiscence pétainiste.