Mardi 22 janvier, le procureur d'Aurillac annonce que la chasseuse suspecté d'avoir tué accidentellement une randonneuse est mise en examen pour "homicide involontaire".
Le procureur d'Aurillac annonce, mardi 22 février, la mise en examen d'une chasseuse de 17 ans du chef d'"homicide involontaire", selon l'AFP. Elle est l'auteure présumée du tir qui a tué une randonneuse de 25 ans samedi 19 janvier. La jeune femme participait à une battue aux sangliers dans le Cantal, à Cassaniouze.
La jeune femme a été placée sous contrôle judiciaire avec "interdiction de détenir ou porter une arme". Déférée devant le tribunal d'Aurillac mardi 22 janvier, elle s'était fait connaître "immédiatement après le tir" comme l'auteure de celui-ci. Une autopsie du corps de la randonneuse doit être réalisée mardi 22 janvier.
La chasseuse a expliqué aux gendarmes avoir visé un sanglier, tiré, puis entendu le cri d'un homme au niveau d'un sentier où elle s'est alors rendue. Un tir a touché la victime "en partie haute du corps, au niveau gauche", selon le procureur d'Aurillac Paolo Giambiasi. La randonneuse était encore "consciente dans un premier temps". Elle a finalement perdu la vie sur place "malgré les premiers secours prodigués notamment par l'homme avec lequel elle se promenait".
