D'après nos informations, trois policiers de la police judiciaire de Lyon et Grenoble auraient été interpellés ce matin dans le cadre de l'enquête qui vise Michel Neyret, placé en garde à vue jeudi dans le cadre d'une enquête des juges de la JIRS de Paris pour corruption passive, trafic de stupéfiants et blanchiment d'argent.
Une source proche de l'enquête nous indique que des policiers de la Brigade de Recherche et d'Intervention (BRI) de Lyon et Grenoble ont été interpellés ce vendredi matin dans le cadre de l'enquête qui vise le n°2 de la PJ de Lyon, Michel Neyret. Ils ont été placés en garde à vue. D'autres arrestations auraient été réalisées à Nice et à Cannes ce vendredi matin. Le parquet de Paris n'a pour l'heure pas souhaité communiquer sur cette information. À Cannes, il s'agirait d'un Lyonnais âgé d'une trentaine d'années qui aurait mis à la disposition de Michel Neyret des outils logistiques ainsi que des grosses cylindrées.
Par ailleurs, le procureur de Genève, Jean-Bernard Schmid, a mené ce vendredi matin de nouvelles perquisitions à Genève. M. Schmid agit dans le cadre d'une action coordonnée avec les polices françaises dans le cadre d'une demande d'entraide judiciaire. Hier, jeudi 29 septembre, plusieurs perquisitions avaient déjà été menées dans des banques et des sociétés fiduciaires de Genève permettant de recueillir une importante documentation.
D'après nos informations, des auditions se sont déroulées jeudi à Genève et des circuits financiers complexes ont été mis au jour. Ces circuits financiers seraient dispersés à travers plusieurs centres financiers internationaux dont celui de Genève. D'après nos informations, des traçage de fonds sont actuellement en cours afin de remonter les circuits d'argent empruntés par un trafic international de stupéfiants pour lequel la police des polices a placé hier le n°2 de la PJ de Lyon en garde à vue ainsi que son épouse.
Bravo aux policiers, magistrats et journalistes qui, malgré le contexte, travaillent efficacement pour mettre hors d'état de nuire des individus dangereux.Je me demande dans quelle mesure, ces arrestations peuvent avoir un impact, sur les procédures menées par ces policiers et qui ont conduit à des arrestations et condamnations ?Certes se ne sont pas les policiers qui on condamner. Mais ce sont eux qui on enquêter et collecter 'les preuves et indices'.
Un responsable de la brigade des stup qui me vole mon courrier, Un commissaire révoqué qui me tabasse sur le parvis du palais de justice parce que j'étais partie civile contre lui, alors qu'il était poursuivi pour le vol des fichiers de la police (mais ses associés sont ignorés) Un policier à la retraite utilise sa carte de la brigade financière pour se faire imprimer tout mon historique fiscal, Un ex flic amant de mon épouse organise ma spoliation totale en 1998. (Tous associés dans la même société de recouvrement) ... 13 ans de galère parce que des magistrats grenoblois et lyonnais protègent ces fripouilles malgré toutes les preuves publiées en tapant avec google les cinq lettres RIPOUJe suis à peu près sûr qu'en fouillant bien , ils sont dans le m^me réseau que ceux de l'affaire NEYRET
Bravo pour votre courage. Vous enlevez les commentaires mettant à mal votre rigueur...lamentable vos articles sans infos, rédigés avec google et wikipedia...