La décision du gouvernement de ne pas permettre l'ouverture des remontées mécaniques, pendant les vacances de Noël, ne passe pas en station. Mais alors pas du tout. Plus de 600 personnes étaient rassemblées ce mercredi à Bourg-Saint-Maurice, en Savoie, pour réclamer "le droit de travailler dès la période de Noël".
Dans les stations de ski, c'est l'incompréhension. On a "le sentiment de ne pas être écoutés", a souligné Jean-Luc Boch, maire de La Plagne et président de l'Association de maires de stations de montagne (ANMSM), à l'AFP.
Plus de 600 personnes étaient rassemblées ce mercredi à Bourg-Saint-Maurice (Savoie). Elles réclamaient le "droit de travailler dès la période de Noël". Elles veulent aussi plus de visibilité pour la suite. Les manifestants ont brandi des coeurs rouges brisés pour exprimer leur incompréhension et leur désarroi.
"Notre activité économique dépend en grande partie du tourisme et là on ressent comme une injustice d'avoir été les seuls mis de côté pour la reprise de mi-décembre", a expliqué Guillaume Desrues, maire de Bourg-Saint-Maurice/Les Arcs. "On ne sait même pas ce que l'on a droit de faire! Pourra-t-on ouvrir le domaine skiable même sans remontée pour de la luge ou des raquettes ?".
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Et oui c'est sur que sur un téléski ou un télésiège on se contamine obligatoirement
Par contre dans les coursives et les ascenseurs des immeubles des stations de ski il n'y a strictement aucun risque!
C'est pourquoi les débiles à PARIS autorisent d'aller dans les stations de ski mais pas de skier!
Au fait les 8 mètres carrés par personne obligatoire dans les grandes surfaces ils sont aussi obligatoire dans les transports en commun?
Le délire complet .
On se rapproche de plus en plus de la corée du nord avec ces cin.g.lés qui nous dirigent
Quand te reverrais-je, pays merveilleux ? Tes fins de journées collées serrées dans les bars ou les p'tits studios, tes nuits très disco ...
Certes, ce ne sont pas les bonnes paroles de Jean-Claude Duss ... mais des raisons parisiennes de dire non !
Ce gouvernement sous la coupe du directoire médical, envoie au suicide des pans entiers de l'économie nationale.