Amnistier les délits commis dans le cadre de manifestations et de mouvements revendicatifs : la CGPME est contre. “Le message aux casseurs est clair : vous ne risquez plus rien”, déplore un communiqué envoyé ce mardi. “Le message aux employeurs est également clair : vous n'êtes plus en sécurité lors des mouvements sociaux, même l'outil de travail peut être vandalisé”. Le syndicat représentant les PME “considère ce texte comme une véritable provocation”. Le texte qui blanchit les faits commis depuis 2007 et passibles de moins de 5 ans de prison repasse devant l'Assemblée nationale ce mercredi matin.
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D'un côté on rétrécit les garanties des conditions de travail, de l'autre on amnistie les exactions : bizarre.