Signé par l'ensemble des syndicats, il prévoit la négociation de la viabilité des emplois, atelier par atelier. La suppression de postes ne sera étudiée qu'en dernier recours, sous la forme de pré-retraites ou de départs volontaires. Le plan social prévoyait initialement la fermeture de 272 salariés sur les 574 que compte la plateforme. Si elle est menée à terme, cette négociation pourrait être une bouffée d'oxygène pour le devenir industriel de la chimie lyonnaise.