Des voitures mais aussi des motos-écoles, patrons et moniteurs réunis. Venus de dix-sept départements, ils protestaient contres les difficultés qui menacent leur profession. En premier lieu, le manque de place aux examens, qui oblige les candidats recalés une première fois à attendre entre 4 et 8 mois pour une nouvelle session. Egalement contre le prix des carburants, la TV sur les formations et contre un projet gouvernementale qui confierait les cours de code à l'Education Nationale. Comme les taxis quelques mois plus tôt ils se sont séparés en deux cortéges et ont bloqué la circulation dans le centre ville pendant plus de quatre heures. Dans huit villes de France une manifestation semblable s'est déroulée au même moment.
Auto-écoles en colère
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