L'ancien entraîneur de l'OL, Bruno Genesio, licencié il y a moins d'un mois de Rennes, pourrait bien revenir sur le banc lyonnais.
L'Olympique Lyonnais est dans une situation plus que compliquée et cherche, encore et toujours, un sauveur. Cet homme providentiel pourrait bien être un ancien de la maison, en la personne de Bruno Genesio. Selon nos confrères du Progrès, l'ancien coach lyonnais, licencié le 19 novembre par Rennes, a été contacté par la direction de l'OL pour prendre la suite de Pierre Sage, sur le banc lyonnais depuis le départ de Fabio Grosso le 30 novembre dernier.
Un match Genesio - Sampaoli
Selon les informations du quotidien local, celui qui a coaché l'OL de 2015 à 2019 devrait avoir, dans les prochains jours, un entretien avec le club. Genesio serait ainsi en concurrence avec Jorge Sampaoli pour reprendre le flambeau d'une équipe qui a encore démontré mercredi soir à Marseille toutes ses lacunes. Et tout ce qu'il lui restait à faire pour sauver sa peau en Ligue 1 à la fin de la saison.
L'ancien lyonnais, de retour dans sa ville de cœur depuis son départ de Bretagne, aurait l'avantage d'avoir le soutien de nombreux joueurs et membres du club en interne, au contraire de l'ancien entraîneur de l'OM.
Si le pari est tentant pour l'enfant du club, la mission maintien pourrait être un risque pour un entraîneur qui sort d'une expérience mitigée à Rennes. Après une fin d'aventure compliquée à Lyon en 2019, son retour pose question. Pour la réception de Toulouse ce dimanche au Groupama Stadium, Pierre Sage dirigera encore l'OL. Mais jusqu'à quand ? La réponse est peut-être entre les mains de Bruno Genesio.
Construction du 2ème stade géant de la métropole = destruction de l'équipe de l'OL.
Plus aucun titre réel, aucun titre européen contrairement à ce qui avait été "vendu" (promis),
des pertes financières, de l'endettement (dont certaines garanties sont "l'Etat", donc les impôts des citoyens).
"Carte Rouge", l'association pas aimée par les pro Collomb-béton, Etienne Tête, ainsi que les autres associations écologistes l'avaient annoncé.
Maintenant, c'est une réalité : l'OL est en perdition.