Cédric Van Styvendael, maire PS de Villeurbanne, est l’invité de 6 minutes chrono. Il évoque la campagne présidentielle d’Anne Hidalgo dont il est le porte-parole.
À quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, Cédric Van Styvendael continue de battre la campagne pour Anne Hidalgo malgré des vents contraires pour la candidate socialiste, créditée de 2% d’intention de vote. “Ces 2% ne sont pas à la hauteur de ce que représente la candidate et le programme, mais il n’y a pas un seul mouvement. Il y a face à nous une prophétie autoréalisatrice : à quoi ça sert de voter pour vous alors que vous êtes à 2%”, soupire Cédric Van Styvendael.
Il regrette aussi que le PS soit sans cesse renvoyé au “bilan de François Hollande”. “Il y a une fracture avec notre électorat que je ne m’explique pas”, peste le maire PS de Villeurbanne. Il avertit aussi les électeurs de centre-gauche qui pourraient être attirés par Emmanuel Macron : “il n’y a rien de gauche dans son programme”.
Vous aurez compris pourquoi il n'y a plus ni la gauche (PS) ni la droite (LR/Ump/Rpr) lorsque vous aurez compris que dans un monde monétaire, seul compte le porte monnaie individuel, parce que si vous n'avez rien dedans vous êtes à la rue.
Le monde monétiste s'est optimisé, tout est à couteaux tirés.
Vous étiez au pouvoir, vous pouviez élever le niveau de connaissances de chacun, vous ne l'avez pas fait. Les graines que vous avez semé sont celles de l'ignorance des masses (et l'aveuglement des élites).
Août 2012, en page de garde, l'Express avait titré "Les cocus de Hollande" Qui était son ministre de l'économie?