Nour Kather, cheffe de la division de Lyon de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) est l'invité de "6 minutes chrono". Elle dresse le bilan "globalement satisfaisant" mais relève des "axes d'amélioration" et des "points d'attention".
En 2021, le "gendarme du nucléaire"Auvergne-Rhône-Alpes a mené 328 inspections au cours de l’année , dont 117 inspections dans les centrales nucléaires du Bugey, de Saint-Alban, de Cruas-Meysse et du Tricastin,
26 évènements significatifs classés de niveau 1 sur l'échelle internationale des évènements nucléaires et radiologiques ont été déclarés a l’ASN, dont 21 survenus dans les installations nucléaires de base (INB) et 5 dans le nucléaire de proximité. 1 évenemen t significatif de niveau 2 a également été pointé àç la centrale de Cruas.
"Ce qui a inquiété l'ASN, c'est le phénomène de corrosion décelé fin 2021 sur une centrale #nucléaire. U phénomène sérieux car il touche une partie d'un circuit directement lié au coeur du réacteur " explique Nour Kather cheffe de division de Lyon de l'ASN.
L'autorité e sûreté nucléaire a détecté des phénomènes de "corrosion accélérée" mais précise à Lyon Capitale qu' "il n'y a pas de lien direct entre le vieillissement des centrales et le phénomène de corrosion".
Information judiciaire contre EDF au Tricastin : "EDF n'a pas tenté de dissimuler ces événements"
Selon l'AFP, une information judiciaire ouverte contre X a été ouverte, à la suite d'une plainte déposée en octobre 2021 contre EDF par un cadre de la centrale nucléaire de Tricastin (Drôme), selon l'AFP jeudi 9 juin. "Non-déclaration d'incident ou d'accident" , "mise en danger d'autrui" et "faux et usage de faux… CV'est sur cet ensemble d'éléments qu 'une enquête sera menée par une juge d'instruction du Pôle de santé publique de Marseille. Selon l'ASN, "EDF n'a pas tenté de dissimuler ces événements sur le domaine sûreté nucléaire".
"La canicule a un impact limité en termes de sûreté nucléaire"
Si les centrales nucléaires reviennent chaque année dans l'actualité en été, c'est en raison de leur impact sur les fleuves. "En termes de sûreté nucléaire, la canicule a un impact limité. C'est surtout un impact sur le fonctionnement des centrales et de production électrique. L'enjeu est de limiter la température de rejet dans le Rhône."
Le Pays à le choix, indépendance énergétique Nucléaire ou gaz, russe, algérien, de schiste, ne comptons surtout pas sur les moulins à vent qui ont explosés dans la bourrasque .ou les panneaux qui ont éclatés sous la grêle.
ça a un impacté limité l'été... 😀
On peut continuer lors des canicules mais y'aura plus aucune vie dans les fleuves avec l'eau chaude qu'on rejette... un détail ! 😀
et si un jour il faut super froid et que ça gêle, il n'y aura plus d'eau pour alimenter les centrales nucléaires... là aussi un détail ! A part ça, le nucléaire est "sûr" et ne pose aucun problème.
Jusqu'au moment où on ne contrôle plus rien.
Les japonais sont toujours en train d'essayer de nettoyer et c'est sans fin, avec des stocks de terres contaminées qui sont gigantesques et ingérables.
Tout ça pour allumer la lumière avec du nucléaire au lieu d'utiliser d'autres techniques...
Nous sommes lamentables.
On est toujours en attente de TA solution pour palier à la fourniture des 80% de ceux actuellement fournis par le nucléaire soit 700 Terra.Watts,( 700 suivit de 12 zéros.) en absence, ou trop de vent , avec ciel gris, plafond bas,
Ah , si ils vont redémarrer Saint Avold centrale à charbon !! qui en polluant produira le quart de Fessenheim.
Quand aux japonnais (TEPCO, un privé) qui a négligé les normes de sécurité ce qui nous guette.
""""et si un jour il faut super froid et que ça gèle,"""??? Et si pour une fois tu cessais de parler d'un sujet que tu ne maitrises pas ! comme ceux qui ne l'abordent que par intérêt électorale.
au lieu d'utiliser d'autres techniques... Vous pensez à quoi ?
Une solution , sur les hauteurs de Givors-Chassagny, un lieu dit "La Mine" mon arrière grand -oncle y exploitait une petite ferme, A proximité, des résurgences de houille de qualité moyenne, (pendant pénurie due à la guerre 39/45 certains se chauffaient avec) un prolongement du bassin stéphanois sans doute. de vrais écolos bois mort et charbon récupéré ,surplace transporté avec le cheval, On ne chauffait que du lever à la préparation du souper dans la cuisinière, Par les froidures hivernales le matin c'était 5/6 degré , très loin des températures des bureaux nos conseillers !!Dans toutes les mines en France on a cessé de pomper l'eau rendant les mines inexploitables préférant le charbon australien !!