Ce jeudi 5 août, le Conseil constitutionnel doit rendre son avis sur le controversé projet de loi sanitaire proposé par le gouvernement, avant sa possible entrée en vigueur le lundi 9 août. Présenté comme "équilibré" par l’exécutif et "disproportionné" par ses opposants, le projet qui doit notamment étendre l’application du pass sanitaire pourrait être adopté en l’état, rejeté ou voir certaines de ses dispositions censurées.
Alors que la gronde populaire s’opposant à l’extension du pass sanitaire aux cafés, restaurants, grands centres commerciaux etc. et à la vaccination obligatoire pour certaines professions prend de l’ampleur au coeur de l’été, le Conseil constitutionnel doit trancher ce jeudi 5 août avant que la loi ne puisse être promulguée.
Concrètement, les Sages de la rue de Montpensier, saisis par le Premier ministre, Jean Castex, et par trois groupes de parlementaires différents, 74 députés et 120 sénateurs, devront évaluer l’utilité des mesures proposées par le texte de loi et étudier si la restriction de liberté proposée par celles-ci est proportionnée par rapport à l’objectif.
Une application dès le 9 août en cas de validation
Si le projet de loi est validé, par le garant de la Constitution et des libertés fondamentales, le gouvernement a promis une entrée en vigueur rapide, la date du lundi 9 août a été évoquée à plusieurs reprises par l’exécutif. L'Élysée s'est dit "pas inquiet" du sort qui sera réservé à ce texte "équilibré", voté et "enrichi" à l'Assemblée et au Sénat, dominé par l'opposition de droite. Toutefois, rien n’empêche le Conseil constitutionnel de censurer certaines dispositions ou modalités techniques, qui pourraient alors être retirées du texte à promulguer, ou encore de rejeter le projet de loi dans sa totalité.
Au-delà de l’extension du pass sanitaire, qui cristallise la majorité des tensions, la haute juridiction française doit passer en revue plusieurs autres mesures sensibles, comme l’isolement des personnes contaminées, la vaccination obligatoire de certains personnels, dont les soignants, et les sanctions contre les salariés réfractaires.
Juppé et Fabius diront si la Dictature est constitutionnelle!
Le grand plongeon vers la dictature du Nouveau Monde, qui sera assuré en cas d'approbation de la Loi d'Élargissement du Pass Sanitaire, se fera si le Conseil Constitutionnel l'approuve.
Voici quelques petits détails qui peuvent aider à deviner quelle sera la décision de cette instance suprême dans laquelle siègent deux personnalités politiques reconnues depuis toujours pour leur formidable honnêteté ... ce ne sont évidemment pas des personnes qui pourraient avoir trempé dans des scandales de corruption et des affaires du genre "emplois fictifs", "sang contaminé", "Rainbow Warrior" ou encore du "nuage radioactif arrêté à nos frontières".... bien sûr que non!
Laurent Fabius a un fils, Victor, qui est Directeur-Associé du cabinet McKinsey-France, .... vous savez? l'entreprise privée américaine qui pilote la campagne de "vaccination" en France.
Alain Juppé a, lui, un très bon ami: Maël de Calan... vous ne le connaissez pas? Et bien, il est le patron de ce même Cabinet de conseil McKinsey-France qu'Olivier Véran et son équipe paie à coups de millions d'euros des contribuables français pour piloter cette campagne de "vaccinations".
Olivier Véran et Maël de Calan sont très proches depuis plusieurs années. Ils sont tous deux "Young Leaders" de la Fondation France-Chine au sein de laquelle Jacques Attali est membre du Conseil Stratégique (aux côtés d'Edouard Philippe) et où la compagne d'Olivier Véran (la Député Coralie Dubost) est membre du Comité de Pilotage.
C'est donc en famille et entre copains que se décidera comment se mettront en place les mécanismes légaux destinés à faire de la vie des "non-vaccinés", "une vie de merde".