Un léger reflux se poursuit au niveau du taux d'incidence à Lyon et dans le Rhône. Même si cet indicateur est en légère baisse, le nombre de contaminations dans le département reste très élevé ce jeudi 27 janvier. Le point complet.
La circulation du virus est toujours aussi intensive à Lyon et dans le Rhône depuis la reprise épidémique. Toutefois, d'après les nouvelles données de Santé Publique France, le taux d'incidence dans le département a entamé une légère baisse des contaminations ces derniers jours.
Le taux d'incidence est un indicateur clé, capable de déterminer le nombre de cas positifs sur une semaine glissante pour 100 000 habitants. Il se base sur des indicateurs de surveillance virologique, dont l’objectif est de remonter les données de tests (RT-PCR) réalisés par l’ensemble des laboratoires de ville et autres établissements hospitaliers, ainsi que les tests antigéniques réalisés par les laboratoires, les pharmaciens, les médecins et les infirmiers.
Le taux d'incidence est actuellement de 4608,6 dans le Rhône d'après les derniers chiffres stabilisés au dimanche 23 janvier 2022. Cela prend en compte la semaine glissante du lundi 17 au dimanche 23 janvier. Pour rappel, ce taux était à peine plus haut pour la semaine allant du dimanche 16 au samedi 22 janvier, puisqu'il s'élevait à 4628,3 contaminations pour 100 000 habitants dans le Rhône.
Le nombre de cas par tranches d'âge
Dans le Rhône, c'est chez les 10-19 ans, actuellement, que le virus circule le plus :
- 0-9 ans : 5802
- 10-19 ans : 7563
- 20-29 ans : 5135
- 30-39 ans : 5962
- 40-49 ans : 5341
- 50-59 ans : 3010
- 60-69 ans : 1791
- 70-79 ans : 1280
- 80-89 ans : 1077
- +90 ans : 1887
POUR ALLER PLUS LOIN
Jean-Yves Grall, le directeur de l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes, était sur le plateau de Lyon Capitale pour faire le point sur la vague Omicron dans la région le mardi 11 janvier :
Les tranches d'âge les + "injectées" atteignent des taux record aussi...
une honte d'avoir appelé ça "vaccin".
L'heure des comptes viendra, loin des manipulations politiques et commerciales.
Le vaccin n'a jamais été un moyen de lutte contre la transmission du virus.
Le vaccin est moyen de lutte contre les conséquence de la maladie (hospitalisation, réanimation, décès).
La seul protection contre la diffusion du virus est la distanciation sociale et le port du masque.
Un vaccin a toujours été un moyen de lutte contre la transmission d'un virus ou d'une maladie. C'est même ainsi que certaines maladies ont disparu.
Là, les injections, c'était un traitement, un médicament. Qui n'a pas empêché les contaminations de masse malgré les taux records d'injection.
Pour votre conclusion, je suis d'accord. Pour "éteindre" un virus, on sait ce qu'il faut faire. Mais la rotation monétaire exige de l'activité "quoi qu'il en coûte". On reste piégés par ce système.
Lu sur le site :
vaccination-info-service.fr/Questions-frequentes/Questions-generales-sur-la-vaccination/Vaccins-et-systeme-immunitaire
pour une mise à jour datant de décembre 2017 donc ne tenant pas compte des informations récentes
"Peut-on quand même contracter une maladie quand on a été vacciné ?
Il peut arriver de tomber malade tout en étant vacciné. La probabilité d’un tel événement dépend du vaccin et, pour certains d’entre eux, des caractéristiques individuelles des personnes vaccinées.
Pour certains vaccins, l’efficacité est presque de 100% et les échecs de la vaccination sont pratiquement inexistants : c’est le cas, par exemple, de la vaccination contre la diphtérie ou le tétanos.
Pour d’autres vaccins, l’efficacité peut être diminuée : c’est le cas, par exemple, du vaccin contre la grippe, qui n’est pas toujours totalement adapté aux souches du virus qui circulent en raison notamment de la difficulté de prédire avec certitude au moment de la fabrication du vaccin quels virus circuleront pendant l’hiver. Toutefois, lorsqu’une maladie survient chez une personne vaccinée, elle est souvent moins grave.
Enfin, certains vaccins ne confèrent pas une immunité permanente et la protection finit par disparaître. Pour de tels vaccins, le calendrier vaccinal prévoit des rappels tout au long de la vie."