En Auvergne-Rhône-Alpes, le potentiel de l’éolien semble très limité et la réponse pourrait passer par le solaire.
En inaugurant le plus grand parc éolien offshore français au large de Saint-Nazaire, le 22 septembre dernier, Emmanuel Macron a rappelé sa volonté d’accélérer significativement la production d’énergies renouvelables. Dans le mix énergétique français, celles-ci ne représentent qu’un quart de notre production totale. Ce qui place la France parmi les mauvais élèves au niveau européen. Les barrages hydroélectriques fournissent la plupart de l’électricité verte. Mais hormis des gains marginaux de production, il ne faut pas s’attendre à de grandes améliorations. Les regards se tournent donc vers l’éolien (6,3 %) et le solaire (2,2 %) pour produire une énergie décarbonée. Les grands parcs éoliens, notamment, ont la capacité de se rapprocher des ordres de grandeur du nucléaire.
À l’intérieur des terres, les turbines auront du mal à gagner du terrain. Bien souvent, elles ne sont déjà pas les bienvenues. Laurent Wauquiez a souvent clamé son peu d’attrait pour cette énergie renouvelable depuis son élection à la tête du conseil régional en 2016. Il a même fait campagne, en 2021, contre l’installation de nouveaux parcs. Les délais de livraison sont aussi très longs, autour d’une dizaine d’années entre les études d’impact et les différents recours. Le nombre de sites possibles n’est déjà pas faramineux. 90 % du territoire régional est incompatible avec l’installation d’éoliennes soit du fait de la présence d’habitations à moins de 500 mètres, d’autoroutes, d’aéroport, de montagnes, de zones militaires ou de sites naturels. Dans le Rhône, seul 3 % du territoire est ainsi éligible à l’implantation de turbines dans la métropole, un site est envisageable à Rillieux-La-Pape.
Les panneaux photovoltaïques sont plus faciles à installer avec des délais plus courts. Près de 100 000 panneaux sont déjà en service dans la région et la CNR planche sur de grands champs dans la vallée du Rhône. Au sein de territoires très urbains, comme la métropole de Lyon, le solaire sur des toits est l’une des seules sources d’énergie qui peut se développer avec le gaz naturel de ville. Le photovoltaïque se découvre aussi de nouveaux horizons en milieu rural avec l’agrivoltaïsme, le déploiement de panneaux en hauteur pour ne plus affecter les cultures au sol. Afin de faire face à la demande croissante d’électricité, les énergies renouvelables vont devoir rapidement changer de braquet.
laissez penser que moulins et panneaux sont la solution, l'escrologie est en route, subventionnée par 30% de nos factures 30%, !!
Le vent c'est l’intermittence .Ex puissance installée 100 kW théoriques seuls 5 seront fournis.
Mais des terres à jamais bétonnées. des pales enterrées en fin de vie!! risque de foudroiement...
les panneaux perdent 15% de rendement simplement par l'empoussièrement, moins 30% fin de vie durée de vie 12, 18 ans maxis finissent en sous couches des routes ou broyés comme combustible four à ciment.
Ce n'est pas en quelques années d'inaction en détruisant nos paysage que l'on effacera 5 ans de Hollande ++5 ans de Macron .12 ans à cette date le temps nécessaire pour bâtir une centrale!!!
Sans les escrologues dans les pattes !!
Se souvenir qu'une rénovation d'une tranche nucléaire c'est 1 milliards.
***le solaire sur des toits est l’une des seules sources d’énergie qui peut se développer avec le gaz naturel de ville.** ??Russe bien sur, à défaut schiste US !!!