Dans la revente d'immeubles du quartier Grolée, le fonds des Émirats arabes unis et les deux intermédiaires ont fait une plus-value stratosphérique.
Alors que la récente dissolution, cet été, de la société foncière Les Docks Lyonnais, propriété d'UBS, dans ce qui est convenu d'appeler le tentaculaire "dossier Grolée", interroge - la banque suisse aurait-elle intérêt à dissimuler des preuves possiblement compromettantes ? (lire Dossier Grolée : à Lyon, l'étrange bazardage des Docks Lyonnais par la banque UBS ), d'autres questions se posent quant à deux intermédiaires "de vrais pistoléros qui prennent des coups et monétisent tout ça”.Il vous reste 90 % de l'article à lire.
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