Une trentenaire a été retrouvée morte poignardée et plusieurs personnes ont été blessées dimanche soir, dans la Drôme, pour une histoire de cigarettes.
Le drame est survenu dimanche soir à Saint-Vallier, dans le Nord de la Drôme, aux alentours de 20h15. À proximité d'un fast-food, une rixe a éclaté entre une vingtaine de personnes pour une banale histoire de cigarettes, relaye Le Dauphiné.
Une bande pénètre à l'intérieur de l'établissement de restauration rapide pour demander quelques cigarettes à un autre groupe présent au sein du fast-food. Celui-ci refuse et les deux groupes décident de sortir du restaurant pour en découdre.
Un individu placé en garde à vue
Lors de cette rixe, une personne sort une arme blanche et blesse plusieurs de ses opposants, jusqu'à ce qu'une femme d'une trentaine d'années, d'origine roumaine, tente de s'interposer. Atteinte par un coup de couteau, celle-ci décède quelques instants plus tard, près d'un pont situé à une dizaine de mètres du lieu du drame.
Au total, six autres personnes ont été blessées, dont deux assez sérieusement mais leurs jours ne seraient pas en danger. Toute la nuit, gendarmes et policiers se sont lancés à la recherche des protagonistes et un individu, dont on ignore encore le degré d'implication dans les faits, a été interpellé et placé en garde à vue tôt ce lundi matin.
Edit 13h44
Les personnes gravement blessées au cours de cette rixe ne sont autres que le mari, " touché à l'abdomen ", et le fils de 16 ans, " touché au thorax ", de la femme qui a perdu la vie, précise Alex Perrin, le procureur, qui précise : " un homme majeur, d’origine nord africaine, se trouve en garde à vue. Le rôle de chacun reste flou et le déroulement des faits est confus pour l’instant, mais il semblerait qu’il s’agisse de violences réciproques. "
Concernant les circonstances du décès de la femme d'origine roumaine, une autopsie sera effectuée afin d'en savoir plus.
fast food, une bande, cigarettes. Le scénario était écrit d'avance. !
Comme aurait dit Corona, "la maison brûle et on regarde ailleurs"
Oui, on ne regarde pas là où ça cloche : dans les cerveaux et les valeurs données aux informations.
Ainsi, "ne pas accepter de donner une cigarette" devient "un mépris, une forme d'insulte".
Et plus on est en décalage avec la réalité, plus on est dans la maladie mentale.
Et une personne qui intervient pour calmer la haine présente, devient un "ennemi à ma toute puissance qui veut imposer ce que j'ai dans la tête, dans la réalité."
Une fois de plus, décalage nocif.