Lors de son dernier conseil municipal annuel, jeudi 21 décembre, la Ville de Lyon a voté l’attribution d’une aide exceptionnelle de 192 000 euros pour 54 commerces impactés après les émeutes urbaines de juin dernier.
Jeudi 21 décembre, lors du dernier conseil municipal de l’année, la Ville de Lyon a voté une aide exceptionnelle de 192 000 euros pour aider les commerçants et artisans qui ont subi des vols ou des pillages en juin et juillet derniers lors des émeutes urbaines. Ce sont 54 commerçants qui bénéficieront de cette aide.
Préserver l’activité des commerces
Cette décision prise le mois dernier par la Ville de Lyon "s’inscrit de manière complémentaire aux autres aides exceptionnelles débloquées", a déclaré Camille Augey, adjointe au maire à l’emploi et à l’économie durable. Ainsi, après un appel à projet, 150 000 euros vont être versés aux associations de commerçants "pour l’animation commerciale" de la ville de Lyon.
À cela s’ajoute également une aide de la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) à hauteur de 50 000 euros afin de mettre en place une "cellule d’urgence d’accompagnement aux commerçants lyonnais sinistrés", indique la collectivité. Enfin, 50 000 euros vont également être versés aux kiosques de la place Bellecour "au regard des préjudices subis tout au long du premier semestre 2023." Cette aide représente six mois d’exonération, indique toujours la mairie.
Un autre dispositif d’aides voté le 28 septembre
La Ville de Lyon rappelle qu’une précédente aide a également été adoptée le 28 septembre dernier en conseil municipal. Ce dispositif d’aides directes est possible pour "les artisans et commerçants indépendants ou franchisés de moins de 50 salariés en équivalent temps plein, avec un établissement physique ou une boutique, en rez-de-chaussée avec vitrine." Cette aide équivaut à une subvention forfaitaire de 2 000 euros pour les entreprises qui ont subi des dégradations sur les éléments extérieurs de leur enseigne, et de 5 000 euros pour celles qui en auraient subi en extérieur et en intérieur.
Les "rebelles" sont toujours aussi raz les pâquerettes...
avec leurs dégradations, ils augmentent la croissance des chiffres d'affaires (assurances, réparations, etc)
et lorsqu'ils mettent le feu, ça pollue et intoxique...
S'ils étaient postmonétaires, là, ils seraient efficaces, seulement voilà, ils sont dans la culture de la violence (la violence étant l'expression d'une infériorité mentale momentanée, qui se soigne), et sont certains d'avoir raison (comme ceux d'en face qui eux, ont l'armée et la police).
si c'etait les casseurs plutot que les contribuales qui payaient?
les petits choux ne sont pas contents de la société mais au fait ils font quoi à part raler ou se raconter des legendes urbaines? l