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(Photo d’illustration)

Équipements de pointe pour le service radiologie de Édouard-Herriot

Après dix mois de travaux et 6,9 millions d'euros dépensés, l'hôpital Édouard-Herriot a terminé la modernisation de ses équipements d'imagerie médicale.

Regroupées sur deux pavillons (B et G), les services de radiologie des Hospices Civils de Lyon se sont dotés d'équipements de pointe, en matière d'imagerie diagnostique et de radiologie interventionnelle.

Auparavant répartis sur trois pavillons, les services de radiographie diagnostiques (échographie, scanner, IRM...) seront désormais centralisés dans le nouveau pavillon B. Au rez-de-chaussée, le service de radiologie conventionnelle est désormais directement relié par une galerie avec le Service Médical d'Accueil (SMA) afin de mieux gérer les examens en urgence.

Le radiologue devient un thérapeute

Le pavillon B s'est également pourvu d'un nouvel IRM, et surtout d'un scanner spectral, le deuxième de la ville. Celui-ci "permet une imagerie plus précise, plus sensible et permet de détecter les lésions peu visibles" tel que les tumeurs, selon le chef du service radiologie, le professeur Olivier Rouviere.

Au cœur de l'hôpital Édouard-Herriot, le pavillon G s'est également doté de certaines améliorations, en matière de radiologie interventionnelle cette fois. C'est-à-dire toutes les procédures mini-invasives ou diagnostiques réalisées par un radiologue sous contrôle de l'imagerie, qui permettent de "s'attaquer à des pathologies beaucoup plus complexe. Le radiologue devient, avec ces outils, un thérapeute. Des anesthésistes seront d'ailleurs désormais attachés au service de radiologie", conclut le professeur Rouviere. Qui aura une centaine de personnes dans son service.

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