Une consultation internationale d’urbanisme a été lancée par la Métropole de Lyon, lundi 29 novembre. Elle va retenir 3 équipes pour concevoir chacune un projet pour le futur de "La Grande Porte des Alpes", un territoire à cheval entre Bron, Chassieu et Saint-Priest doté de nombreux équipements mais victime de nombreuses contraintes.
Regards braqués sur l’avenir. Afin de penser le futur territoire de la « Porte des Alpes », la Métropole de Lyon lance une démarche prospective territoriale en lien avec l’État, les villes de Bron, Chassieu et Saint-Priest, ainsi que le Sytral et le Sepal. D’ici fin novembre une consultation internationale d'urbanisme va définir trois scénarios des possibles évolutions du territoire de la "Grande Porte des Alpes" à l’horizon 2050. Concrètement, trois équipes englobant plusieurs disciplines vont travailler sur un exercice de prospective urbaine à partir de 2022, et ce pendant un an.
Un secteur de 1350 hectares amené à évoluer
Ces trois escouades de chercheurs devront concevoir un projet intégrant les enjeux urbains, environnementaux, économiques, d'habitat, mais aussi de déplacements. Vaste projet. Surtout lorsqu’il s’agit d’interroger un secteur de 1350 hectares, où les équipements ne manquent pas : Eurexpo, le campus de Lyon 2, l’aéroport de Lyon-Bron, le centre commercial de Porte des Alpes, le Parc Technologique, ou encore l’A43. Le territoire qui se développe à Bron, Chassieu et Saint-Priest notamment, peut compter sur de nombreux atouts.
"Repenser le territoire"
Toutefois, précise Béatrice Vésillier, Vice-Présidente de la Métropole de Lyon, en charge de l’urbanisme, du cadre de vie et de l’action foncière, "la Grande Porte des Alpes doit faire face à de nombreuses contraintes, que ce soit en termes de mobilités, de disparité du tissu économique ou de morcellement du secteur. Nous devons aujourd’hui repenser ce territoire périurbain où les infrastructures sont très prégnantes, où les espaces vides sont porteurs de potentiel de renaturation et de qualité de vie, où il faut refaire société sur ce vaste territoire éclaté, retrouver un cadre urbain apaisé, utile à toutes et tous".
Première étape, donc, retenir les trois équipes qui mèneront les équipes prospectives grâce à un appel d’offres lancé à la fin du mois de novembre. Un comité scientifique présidé par Michel Lussault, géographe enseignant-chercheur, directeur de l’École Urbaine de Lyon, mettra en relation des personnalités qualifiées et des chercheurs, avec les équipes sélectionnées tout au long de la démarche.
Une bonne chose que l'aéroport de Lyon a été déplacé dans les années 70, vers Satolas, Ce qui nous a évité une ZAD et un referendum bafoué comme à Nantes. N'en déplaise à la maire aérophobe de Poitiers !
Un sacré raccourci quand même...
Vous le savez en écrivant ce commentaire que vous écrivez n'importe quoi ?
"c'est bon, vous cochez toutes les cases du sectaire de base et pathétique. Sur un autre article, les internautes vous disaient que vous compreniez que ce que vous aviez envie de comprendre, vous en faites la parfaite démonstration" !
Il n'a rien à faire de parler de Satolas alors que c'est l'aéroport de Bron qui est à l'image 😀
Merci de nous éclairer sur ce qui est du "n'importe quoi" dans le premier commentaire de @Janus.
Pour ma part je ne vois que le dernier propos au sujet du maire de Poitiers dont chacun peut encore interpréter les propos.
Par contre pensez vous possible aujourd'hui de construire un nouvel aéroport pour s'éloigner des villes ?
Niez vous l'existence d'une ZAD pour les nouveaux projets d'envergure ?
En quoi le résultat du référendum au sujet de NDL n'a pas été bafoué ?