rivière
@Ian Turnell/ Pexels

Etudier l’impact de la pollution sur un organisme aquatique

C'est l'objet de l'une des 12 thèses qui sera vulgarisée lors du concours Ma Thèse en 180 secondes - Université de Lyon le 20 mars prochain.

Cécile Luc, doctorante à l'Université Claude Bernard Lyon 1, entreprise BIOMAE (Biomonitoring Aquating Environment) et Laboratoire INRAE (Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement) participe à l'édition 2025 de Ma thèse en 18 secondes - Université de Lyon.

La thématique de son sujet de thèse est l'écotoxiologie, c’est-à-dire l’étude des contaminants chimiques dans l’environnement et leurs effets sur le vivant.

Lire aussi : le portrait de Cécile Luc, doctorante lyonnaise en écotoxiologie

  • Intitulé de son sujet de thèse :

Évaluation de la toxicité des sédiments des milieux aquatiques d’eau douce – Proposer l’amphipode Gammarus fossarum comme espèce européenne pour le développement de nouveaux biotests normalisés.

  • L’objet de sa thèse  :

L’objectif est de développer des tests écotoxicologiques sur le gammare en laboratoire afin d’évaluer la qualité des sédiments. Ceci se fait dans un contexte de surveillance des milieux et de questionnement sur le devenir des sédiments issus du dragage.

  • Pourquoi avoir choisi ce thème ?

Je souhaitais prendre part à un projet de recherche appliqué me permettant d’étudier l’impact de la pollution sur un organisme aquatique. Ainsi, je retrouve dans ce thème : l’écotoxicologie, le travail en laboratoire, l’interprétation des résultats, mais aussi l’opportunité d’interagir avec des acteurs du milieu aquatique en France et en Europe.

Lire aussi : Ma Thèse en 180 secondes - Université de Lyon 2025

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