L’investissement locatif à destination des étudiants permet de se constituer un premier patrimoine et une rente sûre. Avec un vivier de 150 000 étudiants (+25 % en 10 ans), la pression locative est forte entre Rhône et Saône. Et la revente, avec plus-value, aisée dans une ville où le prix de l’immobilier continue de grimper.

Investissement à moindre risque
De quoi assurer un taux d’occupation important, alors que les garanties parentales limitent le risque d’impayés. Autre atout, l’augmentation continue des prix de l’immobilier depuis 2015 assure revente rapide et plus-value. Avec la progression de la Guillotière, le 7e arrondissement va ainsi voir sa partie sud dynamisée par les projets autour de Gerland, et l’implantation de l’EM Lyon à l’horizon 2022. Les quartiers les plus prisés demeurent ceux où les étudiants... étudient (Lyon 7 et 8), mais aussi ceux où ils sortent (Lyon 1 et 2). La demande est ainsi toujours soutenue en Presqu’île, à la Croix-Rousse et dans le Vieux-Lyon. “Pas besoin d’être au pied de la fac, tempère Alexandre Schmidt, président de la chambre Fnaim du Rhône, qui conseille d’investir dans le centre de Lyon, ou en proche périphérie mais sur des lignes de métro ou de tram.”Il vous reste 77 % de l'article à lire.
Article réservé à nos abonnés.