La plupart des grands festivals de la région vont pouvoir se tenir cet été après une année quasi blanche. Les contraintes sanitaires se desserrent et récompensent les organisateurs qui ont décidé de se lancer souvent à l’aveuglette.
La chance a souri aux organisateurs de festival audacieux cet été. Les mesures sanitaires vont en s’allégeant et les jauges en s’élargissant. De bonnes nouvelles que n’avait plus l’habitude de recevoir le monde de la culture. “Nos préparatifs ont été chamboulés, mais c’est dans le bon sens. Ces derniers mois nous avons vécu un ascenseur émotionnel”, se réjouit Samuel Riblier, directeur de Jazz à Vienne. “Un festival comme les Nuits sonores ne s’organise pas en trois semaines. Nous avons eu beaucoup de changements en peu de temps. Le public pourra être debout et danser. Nous sommes ravis, mais aussi fatigués de devoir nous adapter”, glisse Pierre-Marie Oullion, directeur artistique des Nuits sonores.Il vous reste 83 % de l'article à lire.
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