En six ans de mandat, le CESER a mené de nombreuses actions pour se réinventer. Cette fin de mandat est l'occasion de revenir dessus.
Le Conseil économique, social et environnemental régional (CESER) d'Auvergne-Rhône-Alpes a récemment publié son bilan de mandature pour 2018-2023. Malgré les doutes de certains élus sur l'utilité actuelle de cette institution consultative, ce document révèle une volonté de faire bien et mieux. En effet, ces six dernières années le CESER a mis en place un certain nombre de nouveautés, afin de répondre au besoin grandissant de transparence et de confiance de la population.
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Pour rappel, le CESER participe à l'administration de la région par le biais de contributions envoyées au Conseil régional ou d'avis, lorsque celui-ci le saisit. Il a notamment pour mission d’informer et d’éclairer le conseil sur les questions économiques, sociales et environnementales. Par ailleurs, ses 190 membres sont nommés par le Préfet de région pour un mandat de 6 ans et son répartis en quatre collèges.
Parité, confiance, modernité : des défis à relever
Pendant ce mandat, les membres du CESER se sont mobilisés à de nombreux niveaux pour répondre à différents enjeux. Mais avant cela, il a fallut dès 2018 insuffler un nouveau souffle dans cette institution souvent critiquée. Ainsi, une présidence élargie a été instaurée avec la nomination de trois vices-présidents en plus du président du conseil Antoine Quadrini, pour plus de démocratie et de concertation. Également, des délégations ont été mises en place, chargées par exemple des relations avec les collèges ou de l'égalité femmes-hommes.
"Les initiatives sont nombreuses pour déployer un CESER dynamique, présent au cœur des territoires et auprès de leurs habitants"
Antoine Quadrini, président du CESER
Par ailleurs, pour favoriser la confiance de la population et des acteurs locaux, le CESER s'est engagé dans une démarche de transparence. Qui plus est, pour plus de modernité, son site internet a été entièrement refondu, tout comme sa charte graphique, et le vote électronique a été adopté. "Les initiatives sont nombreuses pour déployer un CESER dynamique, présent au cœur des territoires et auprès de leurs habitants", écrit Antoine Quadrini dans le bilan de mandature.
Comité Théodule, un truc qui coute fort cher , sa suppression passera inaperçue sauf au budget.
Comité Théodule dixit notre général .surement un visionnaire