À l’occasion du dernier match du Tournoi des six nations qui opposera la France et l'Angleterre samedi 16 mars au Groupama Stadium, l’Armée de l’air exposera devant l’enceinte du stade un Alphajet de la patrouille de France.
En marge du crunch du Tournoi des six nations, qui opposera samedi 16 mars au Groupama Stadium de Lyon le XV de France et le XV de la Rose, l’armée de l’air et de l’espace exposera avant la rencontre un Alphajet de la Patrouille de France devant l’entrée sud du stade.
Lire aussi : Le XV de France attendu ce jeudi à Lyon avant le crunch
Une expérience immersive
Deux activités seront proposées par l’armée de l’air afin de faire découvrir au public "les sensations d’un pilote de chasse". "Entre 18h et 20h45, les supporters et le public de tout âge pourront ainsi monter, toutes les deux minutes, dans le célèbre avion de la Patrouille de France", explique l’armée de l’air et de l’espace dans un communiqué.
Lire aussi : Lyon : dans les coulisses souterraines de la base militaire du mont Verdun (photos)
Des simulateurs de vol immersifs seront également accessibles afin que le grand public puisse découvrir la sensation d’un vol dans le siège d’une Mirage 2000 grâce à un casque de réalité virtuelle. De quoi attirer les curieux et les passionnés, en attendant le match des Bleus programmé à 21 heures.
Quelques places étaient encore disponibles à la vente ce jeudi matin pour les adhérents de la FFR, mais ce dernier match du Tournoi des six nations devrait se jouer à guichets fermés devant environ 60 000 spectateurs.
Lire aussi : "Scandaleux", "amateurisme" : la billetterie pour France-Angleterre à Lyon vivement critiquée
"de quoi attirer les curieux"... 😀
Heu, plutôt "l'armée recrute."
L'armée doit faire rêver et elle ne le fait pas avec des bombardements.
Devinez à quoi sert réellement cette "démonstration" ?
Tous prêts pour la guerre qu'ils préparent ?
[note au passage, la France (ce pays en perdition suivant les bobards de l'extrême droite) est maintenant le 2ème production mondial d'armements]. La guerre, ce sont nos emplois (dans un monde monétaire). 🙂